Solution pour les indignés : Former votre comité d’étude. M. Mme la mairesse. Nous aimerions démarrer (www.j-m-c.ca ) Jumelage Marchand Client en collaboration avec vos organismes de développement comme la SDE, CLD, SADC et votre Crée etc. Vous êtes surement au courent que la dette Canadienne ne peut jamais se payer et qu’il y a fraude entre les Banques a chartre avec la collaboration de la banque du Canada appartenant aux Rockshields d’Angleterre. Notre gouvernement complice emprunte au lieu de faire imprimer du nouvel argent sans inflation pour nos besoins. Ils ont détruit le cercle économique à l’avantage des 1% qui possède le contrôle des profits de la planète et 1/3 de ce 1% ramassent 80% des profits mondial.
Les vrais raisons du mouvement mondial d'occupation des indignés
N’êtes-vous pas fatiguée de voir les médias faire des reportages stupides et dénudés d'informations crédibles sur les gens qui font un effort remarquable afin de sensibiliser les gens sur les crimes contre l'humanité que font les banquiers et les grandes corporations. Les médias évitent de parler des raisons fondamentales qui suscitent un mouvement mondial qui veut révéler les vices cachés de notre monde de la finance.
Je vous invite de nouveau à visionner cette vidéo en 2 parties (à peine 15 min. chaque) sur les pourquoi de la grande crise financière que nous connaissons actuellement.
Il y a également d'autres bons reportages sur le Web qui donnent tout autant de bonnes informations. Je vous suggère de les télécharger car il se pourrait bien qu'ils disparaissent de You tube à un moment donné. Ainsi, ils pourront être remis sur d'autres sites. C'est sur le Web que nous sommes les mieux informés.
Pourquoi un "Occupy Wall Street" parti 1 de 2
http://www.youtube.com/watch?v=WJhgojiGKYY
Pourquoi un "Occupy Wall Street" parti 2 de 2
http://www.youtube.com/watch?v=IUoP3djUGOU&feature=related
Gilles Gagnon / Laissez-nous un message et réserver vos pubs gratuites
Fond enfant Ainée NEQ : 224-528-8685 Au lieu de couper donnez les moyens de payer
Jumelage Marchand Client Ltée fidélise la clientèle des marchands et quadruple leurs publicités en permettant aux citoyens d’économiser avec eux. www.j-m-c.ca
JMC est un Facilitateur d’économies coopératives et collectives à partir de la consommation.
635A Centrale J9P 1P9, Val D’or, Québec, Canada
gilles.gagnon24@tlb.sympatico.ca Cell: 819-825-9401, 1-888-414-6093, FL 1-305-914-5579
Passons d’une culture de crédit à une culture de l’épargne, doublons nos revenus
Bonjour, voici cette nouvelle invention Regardez les vidéos sur l’argent:
JMC peut créer des milliers (on) d’économies collectives pour vous. Une sécurité financière expansive, automatiquement. Marchands, vos clients feront votre publicité cenne par cenne ? Ce n’est pas vous marchands qui payées les économies et vos pubs, se sont vos clients, servez vous-en. Vous êtes seulement les démarreurs et en profitez. Vos pubs ou vos dons d’une cenne à 10$ vous reviennent à 100%, parce que les frais administratif de JMC sont pris après gestion. JMC vous invitent gratuitement www.j-m-c.ca Nos économies collectives JMC auront tous l’argent nécessaire pour se donner 200% plus de services sans coupure.
Personne ne devrait à être condamné à la pauvreté à la vie. Prenez-en connaissance, vous aimerez cette idée, JMC se sert de l’argent des arnaqueurs (Banque du Canada versus banques à chartes) pour développer à coût nul.
Avez-vous déjà lue la traduction du livre sur l’arnaque d’appauvrissement public par les banques a chartes versus la banque du Canada, sujet à la création du nouvel argent Canadien de dette sans jamais n’en créé du réel, c’est incroyable, vous n’en reviendrez pas ? Elle est incluse, et cliquer sur le lien on peu plus bas pour écouter la vidéo des débuts de l’argent a aujourd'hui ! Les banques prêtent 70 fois plus d'argent qu'elles n'en ont ! Aucun cercle économique, le PM et les ministres acceptent cela par manque de connaissance ou sont ils devenus arnaqueurs. C’est un important projet de société, éliminons notre dette monstrueuse, évitons le mur
Avec cette banque d’économie collective, finie les affaires sous la couverte dans tous les domaines
Besoin d’un ou des investisseurs afin d’avoir des cartes a puce qui passe sur les terminaux et capable d’enregistrer les points argent tournés en bons d’économies que les clients reçoivent des marchands participants selon notre plan marketing. Je vous insclus quelques informations du projet.
À L’ÉGARD DE L’INFORMATIQUE, J’AI L’INTENTION D’IMPLANTER UNE BANQUE D’ÉCONOMIE COLLECTIVE À PARTIR DE LA CONSOMMATION RÉGULIÈRE DE TOUS LES JOURS. CETTE BANQUE D’ÉCONOMIES COLLECTIVES EST NÉCESSAIRE POUR CONTRER L’APPAUVRISSENENT PUBLIC ET AUGMENTER LES PORTEFEUILLES DES CITOYENS ET DES MARCHANDS EN UNISSANT LES MARCHANDS AUX CLIENTS. CETTE BANQUE FONCTIONNE COMME UNE COOPÉRATIVE ET LES MARCHANDS DEVIENNENT COMME DES SUCCURSALES DE LA COOPÉRATIVE.
EN RAPPORT AVEC LES DIRES DE RÉAL CAOUETTE, DE CAMILLE SAMSON, ET DE LOUIS EVEN. SORTONS-NOUS DU PIÈGE ÉCONOMIQUE DE DETTES.
AFIN D’ÈTRE ACTIF, IL FAUT COMPRENDRE L’ARNAQUE DU SYSTÈME MONÉTAIRE.
LA BANQUE DU CANADA VERSUS LES BANQUES À CHARTE NOUS ARNAQUE. OÙ EST L’ARNAQUE ? COMME DISAIT M. RÉAL CAOUETTE DANS LES ANNÉES 1950 ? INFORMEZ-VOUS COMMENT LE NOUVEL ARGENT EST CRÉÉ, ET ESSEYEZ DE COMPRENDRE POURQUOI L’ON N’EN CRÉ PAS AFIN D’EN ÉQUILIBRER ET D’EN RÉPARTIR ÉQUITABLEMENT ENTRE LES MARCHANDS ET LES CITOYENS ?
L’ON DIT QUE C’EST L’ARGENT QUI MÈNE LE MONDE. MAIS D’OÙ VIENT L’ARGENT ? COMMENT EST-IL CRÉÉ ? QUI LE CONTRÔLE ? COMMENT VIENT-IL À MANQUER ? COMMENT PEUT-IL Y AVOIR AUTANT D'ARGENT À PRÊTER ? LA RÉPONSE EST... QU'IL N'Y EN A PAS, L'ARGENT EST UNE DETTE. SANS DETTE IL N'Y EN AURAIT PAS. C’EST CELA NOTRE SYSTÈME SANS AUCUN CERCLE ÉCONOMIQUE. UNISSEZ-VOUS EN VOUS INSCRIVANT GRATUITEMENT AU SITE WWW.J-M-CÉCA !
LE MOMENT EST VENU DE NOUS RÉVEILLER, COMME LES INDIGNÉS NOUS LE PROPOSENT
DES ARNAQUEURS DE LA BANQUE DU CANADA ONT ÉLIMINÉ LE CERCLE MONÉTAIRE ÉCONOMIQUE. LEUR SYSTÈME APPAUVRIT ET SAUTE TOUT LES 6-7 ANS ET PRÉSENTEMENT TOUS LES 2 ANS.
Si l’on dit que c’est l’argent qui mène le monde. Mais d’où vient l’argent ? Comment est-il créé ? Qui le contrôle ? Comment vient-il à manquer ? Comment peut-il y avoir autant d'argent à prêter ? La réponse est... qu'il n'y en a pas, l'argent est une dette. Sans dette il n'y aurait pas d'argent. C’est cela notre système. Réveillions-nous ?
Voici ce que disaient nos meneurs mondiaux ? Laissez moi émettre et contrôler la monnaie d'une nation et je me ''fou'' de ceux qui font ces lois… Baron Nathan Rothschild... Meyer Anselm Rothschild banquier. La dette des gouvernements et des corporations, a pris des proportions astronomiques. La dette des gouvernements ne peut se payer. La banque du Canada ne nous appartient pas, elle leur appartient…
Augmentez vos portefeuilles, sachez ou se crée le vrai nouvel argent, devenez des supporteurs d’économies collectives, apprenez comment accumuler 21000$ et plus par année d’argent nominal qui deviendra réel à votre nom. 819-825-9401, info : jmc50@tlb.sympatico.ca http://www.dailymotion.com/video/x4asqc_largent-debut_politics
CE PROGRAMME REMBOURCERA VOS TAXES ET VOS ACHATS PAR DES ÉCONOMIES À PARTIR DE VOTRE CONSOMMATION QUOTIDIENNE.
(Cercle économique) Un organisme de gestion pourrait inviter tous les marchands de votre ville à offrir des bons d’économie. Mais eux aussi recevrais des bons d’économie en récompense d’une valeur nominale égale au montant qu’ils payent en taxes ou en permis, afin d’être remboursé a 100% de leur compte DE TAXE et ceci est valide aussi pour tous les citoyens.
Consommé-Mangé-Éliminé-Économisé = Croissance économique Perpétuelle Automatique
Personne ne devrait à être condamné à la pauvreté à la vie…
Informez-vous, démêlez-vous
Les marchands ont l’économie locale dans leurs mains, ils doivent être les démarreurs pour en bénéficier afin de fidéliser leurs clients. Leur coût devient zéro, car la règle de 21 (Clé de 210$) les rembourseront à 100% ainsi que les clients. En résumer : Le marchand vous donne des bons a partir de vos achats, vous les ajoutés dans votre compte JMC et quand vous en avez accumulé pour 210$ vous recevrez une cartes de crédit prépayer avec de l’argent dépensable chez vos marchands locaux participants. Le but est de ce donner à tous les moyens de payer et de ce bâtir des portefeuilles d'économies et ce même pour les BS.
Ce ne sont pas les marchands qui payent, ce sont toujours les clients
LES MARCHANDS ONT BESOIN D’INCITATIFS POUR LES BIENS COLLECTIFS
Avec JMC apprenez comment le cercle monétaire et économique est rétablie, afin de vous remboursez de vos achats et de vos taxes. De par votre consommation recevez des sous en économies de vos marchands à partir d’un sou jusqu'à 10$. A toutes les fois que vos économies atteignent 10$, vous recevez une nouvelle inscription à la suite des autres. Chacune de vos inscriptions ont une valeur nominale de 210$ et les premiers 21, 10$ inscrits à la suite de chacune de vos inscriptions fait 210$ d’argent réel vous qualifiant au retour économisé de 15$, 30$, 60, toutes les fois. La ville d’Ithaca-US la fait, l’Angleterre, Toronto, Vancouver avec des piastres semblable à Canadian Tire. JMC avec l’informatique élimine à 100%, les coûts de fabrication de ces piastres papier
Exemple d’un achat de 210$ chez Canadian Tire qui peut vous donner 10$ de 1$. Comparé avec JMC, c’est comme eux, le marchand met dans la banque d’économie collective au nom de son client ; un bon payé 10$ qui a une valeur nominale de 210$ qui deviendra réel avec 21 nouveaux bons à 10$ inscrits à sa suite, éliminant de fait le nominal 210$ le rendant réel, et quand vous aurez accumulé 100 bons, la valeur de votre portefeuille vaudra 21,000$ en argent nominal qui deviendra réel au fur et a mesure de vos autres achats et de ceux des autres. De l’argent réel à vous être retourné quelques mois plus tard, restaurant de fait le cercle économique essentiel à la croissance des portefeuilles de la population.
Économiser à partir de nos achats rend la pauvreté caduque
http://changeonslequebec.com/_1THEATRECLQ.php?Vid=
Visionnez cette vidéo à savoir comment se créé l’argent de dette et vous réaliserez l’importance d’économiser avec JMC pour votre population.
http://changeonslequebec.com/_1THEATRECLQ.php?Vid=
Ne soyez pas leur complice : Installez un CA d’économies collectives dans votre localité: Impliquez-vous en forment un exécutif de démarrage afin de rendre votre région autonome.
Les banques prêtent 70 fois plus d'argent qu'elles n'en ont !
Voilà la cause réelle de la grande misère dans le monde! Écrit par des journalistes d’enquêtes...
JMC est le seul programme à vous affilier afin de payer les dettes gouvernementales à 100% et régulariser cette arnaque en économisant collectivement, il est non comparable : La logique par elle-même… Il faut créer, équilibrer et répartir équitablement du nouvel argent entre les marchands et leurs clients et ceci, à partir d’économies au lieu de dettes! C’est exactement ce que Jumelage Marchand Client Ltée propose afin de doubler les chiffres d’affaires des marchands. Lire à la fin de ce document les services que JMC offre aux marchands. Inscrivez-vous gratuitement comme client ou comme marchand au site www.j-m-c.ca et afin d’augmenter vos services, aidez-vous en payant votre inscription. C’est une opportunité incontournable pour les municipalités intéressées d’avoir une économie toujours en croissance. Profitez de ce programme de soutient économique local Population-Marchand Client, un programme qui peut injecter 50 milles et beaucoup plus par semaine dans votre économie. A votre demande ! Arrangement pour des conférences.
Des vérités cachées
L’enjeu : éveiller la population
Tout Canadien soucieux de sa liberté doit certes s’interroger sur la réglementation et le contrôle excessif exercé par le gouvernement à l’égard de ses activités personnelles et financières. Malgré ce qu’en pensent la majorité des gens, il est possible d’acquérir une véritable sécurité financière et de recouvrer son autonomie, en dépit des nombreuses taxes prélevées et de l’ingérence exercée par le gouvernement. Il existe peu de solutions ou de stratégies connues pour surmonter ce problème réel et alarmant. Il y a lieu cependant d’avoir l’esprit ouvert, la volonté d’apprendre et le courage d’agir. Il y va de la liberté personnelle de chacun – un droit inné, propre à tout être humain.
La vérité au sujet de l’argent
Soulignons et comprenons d’abord l’importance de certaines réalités fondamentales de notre système bancaire et monétaire. Tout l’argent que les banques émettent et font circuler est produit sous forme de prêt. Cet argent comporte donc un coût : de l’intérêt. Lorsque les gouvernements permettent aux banques d’émettre la masse monétaire d’un pays, ils doivent percevoir des taxes afin que les banques puissent récolter de l’intérêt sur l’argent qu’elles ont créé. Cela appauvrit automatiquement les citoyens, puisque les banques ne créent jamais d’argent pour payer l’intérêt imposé par l’utilisation de leur argent, mais seulement le principal. En conséquence, pour acquitter l’intérêt, on puise inévitablement dans l’actif du pays et des citoyens, par des mécanismes tels que la création de dettes, les faillites et les forclusions. On prélève, de surcroît, des taxes à la source pour accélérer le processus. Une société qui admet et qui accepte que l’on utilise l’argent des banques plutôt que sa propre devise créée librement par elle expose inéluctablement ses citoyens au cycle économique des dépressions et au désarroi de la population.
Comment nous avons perdu le contrôle de notre avenir en Amérique du Nord
Avant d’aborder la situation canadienne, examinons le cas des États-Unis. Il y a certaines leçons à tirer de l’histoire américaine, qui s’apparente à celle du Canada. En 1776, les 13 colonies qui devaient éventuellement former les États-Unis d’Amérique ont combattu les Britanniques afin de protéger leur autonomie et, notamment, de s’affranchir du contrôle étranger de leur masse monétaire. Jusque-là, les 13 colonies utilisaient librement des billets financiers (leur forme d’argent local) en quantité suffisante pour permettre facilement l’échange de biens et de services.
Or, leur confiscation par le Parlement britannique en quelques années seulement a plongé les colonies – alors prospères et jouissant du plein emploi – dans la pauvreté, le désarroi et le chômage généralisé. Aucun autre motif n’a autant incité les colonies américaines à se rebeller. La livre anglaise a été créée non pas par le Parlement anglais, mais par une société privée à but lucratif : la Banque d’Angleterre. De plus, la livre anglaise n’a pas été émise par les banques sous forme de masse monétaire libre. Elle recelait l’imposition d’intérêts auprès des colonies américaines. Il s’agissait là d’une imposition à laquelle les colonies américaines n’avaient certes pas acquiescée, et donc d’une transgression fondamentale du Common Law.
Devant l’écroulement de leur avenir prometteur suscité par la tyrannie monétaire et sociale du Parlement britannique, les colonisateurs se sont rebellés. Ils ne s’étaient pas installés en Amérique pour se livrer à l’esclavage des mêmes politiques qui avaient longuement opprimé leurs concitoyens britanniques. Ils étaient venus pour y trouver leur liberté.
Victorieux d’une guerre livrée pour l’indépendance, les colonies ont instauré un gouvernement républicain. Habilitée par sa constitution, la nouvelle république américaine a décrété et imprimé sa propre devise, tout en imposant des taxes minimales à ses citoyens. Elle a promulgué des lois fondées sur le Common Law, exprimé dans la Grande Charte (Magna Carta) de 1215, qui enchâsse les droits de la personne.
Toutefois, on a éventuellement assisté à une dissolution du pouvoir monétaire, qui n’était aucunement liée à la défaite des Britanniques. Au cours du 19e siècle, l’Empire britannique a manipulé sans merci les politiques de l’Amérique en prétendant que les banques se souciaient d’abord de l’intérêt du peuple et qu’elles seules pouvaient équilibrer l’économie en émettant et en contrôlant la monnaie nationale. Enfin, en décembre 1913, 137 ans après que l’Amérique eut conquis le contrôle de l’argent, la tyrannie monétaire – cause de la guerre – a resurgi par le truchement de la création secrète et privée de la «Réserve américaine» – la Fed comme on la connaît de nos jours.
En conséquence, l’Amérique a perdu sa souveraineté lorsque le système bancaire étranger (international) a repris le contrôle de l’argent. Le système fiscal actuel, issu d’un régime d’endettement monétaire, démunit incroyablement les citoyens contemporains des États-Unis par rapport à leurs compatriotes de l’avant-révolution américaine.
Il faut maintenant établir une distinction entre le 18e et le 20e siècle : le pouvoir monétaire actuel que les banques internationales exercent directement (ainsi qu’indirectement) contrôle virtuellement toutes les sources d’information et d’enseignement de notre société : universités, collèges, écoles, journaux, églises, cabinets d’avocats et d’experts-comptables, et autres institutions professionnelles. Cela englobe tous les détenteurs de licences, d’accréditations, d’affiliations, de brevets professionnels et autres qui misent sur leurs «titres de compétence» pour gagner leur vie. L’élite secrète qui contrôle notre système monétaire cache cette réalité aux personnes dites «instruites» de notre société et l’a depuis longtemps littéralement soustraite de notre système et du public. Faisant allusion au système bancaire des États-Unis, Henry Ford a lui-même déclaré en 1920 que si les citoyens américains savaient vraiment ce qui se passait, ils se révolteraient sur-le-champ! Or rien n’est d’autant plus vrai aujourd’hui.
La situation canadienne
L’histoire canadienne s’apparente étroitement à celle des États-Unis. Les instigateurs de la déchéance économique américaine ont opéré de la même façon chez nous. Hormis une légère révolte à Toronto en 1837, le Canada n’a cependant jamais livré de guerre politique pour défendre son autonomie comme l’ont fait les États-Unis. Notre pays a toujours cédé à l’influence britannique, dont l’emprise institutionnelle est toujours présente aujourd’hui. Le Canada s’est soumis au joug de l’Angleterre (la livre sterling) et a ensuite promulgué sa propre version d’une masse monétaire endettée : le dollar canadien. La Loi sur les banques du Canada (de 1913), promulguée quelques jours après la création secrète de la Réserve fédérale américaine, concédait aux banques la responsabilité – jusque-là exclusive au gouvernement fédéral – de produire la devise nationale, c’est-à-dire le dollar canadien. Quatre ans plus tard, le gouvernement proclama la Loi sur les mesures de guerre (une loi illégale et inconstitutionnelle), qui l’autorisa à prélever un impôt sur le revenu des Canadiens. Le gouvernement prétendit alors que cet impôt servirait à acquitter la dette engendrée par la Première guerre mondiale; en réalité, la législation introduisait un impôt échelonné sous le couvert des conséquences de la guerre. Cet impôt visait à remplir une condition dictée par les banques : l’établissement d’une taxe directe sur le revenu des Canadiens pour payer de l’intérêt sur l’argent qu’elles avaient elles-mêmes créé. À peine quatre ans plus tard, les paiements d’intérêts sur la masse monétaire créée par les banques étaient déjà trop élevés pour le gouvernement canadien.
Il est à noter que cet impôt direct, tout comme la cession du contrôle de notre devise, contrevenait, et contrevient toujours, à l’article 91 de notre Constitution – l’autorité juridique suprême du gouvernement du Canada. Nos lois statutaires étaient, et sont toujours, fondées sur l’Acte de l’Amérique du Nord britannique. Or, cet état de fait n’a pas changé en 1982, contrairement à certaines prétentions populaires. Par ailleurs, au cours du 20e siècle, le gouvernement a graduellement accru le taux d’imposition fiscale en cherchant à acquitter une dette nationale omni croissante et prévisible – laquelle avoisine aujourd’hui les 600 milliards de dollars! Cette dette ne pourra jamais être remboursée tant que les banques contrôleront notre masse monétaire. On nous impose plus de 165 taxes sous forme de prélèvements divers – taxes sur les ventes, taxes sur les produits et services, douanes, permis, tarifs, droits, impôts, retenues à la source (même avec les loteries et les gains de casinos) – à tel point que cela ronge plus de 72 % de nos revenus. Rappelons-nous ceci : tant que l’approvisionnement monétaire d’un pays proviendra des banques, il y aura toujours pénurie d’argent, car les banques ne créent pas d’argent pour payer l’intérêt sur la dette. Elles ne créent l’argent que sous forme de principal. En fait, seule une infime partie de la population ne pourra jamais surmonter le problème des taxes et des prélèvements fiscaux inhérents à notre système et atteindre l’autonomie financière. En conséquence, plus le système enlise notre société, plus les contribuables canadiens souffriront, et plus il faudra sensibiliser les citoyens à une planification financière qui ne repose pas sur une politique monétaire immorale et mondialement contrôlée.
Le système d’éducation canadien masque la vérité au sujet du fonctionnement des banques, du contrôle de notre masse monétaire, des pouvoirs du gouvernement, du Common Law patrimonial et de nos droits constitutionnels. Il nous appartient, à nous seuls, de découvrir la vérité et de l’appliquer à bon escient.
Tous devraient maintenant savoir que lorsque les banques prêtent de l'argent, elles ne se départissent de rien, elles créent tout simplement l'argent qu'elles prêtent, sans que cela ne leur en coûte un seul sou. Elles n'ont pas besoin d'imprimer de papier-monnaie, elles ne font qu'inscrire des chiffres dans des comptes de banque, qui circulent sous forme de chèque, et ces chiffres sont tout aussi bons que le papier-monnaie. Car il existe deux sortes d'argent: le numéraire (billets de banque et pièces de monnaie), et l'argent scriptural (les chiffres inscrits dans les comptes de banque). Cet argent "scriptural", créé par les banques, forme plus de 95% de tout l'argent du pays; l'autre sorte, le papier-monnaie et les sous, constitue moins de 5%.
L'orfèvre devenu banquier
Cette façon de faire des banques remonte au Moyen-âge, alors que l'or était la seule forme de monnaie existante. Ceux qui possédaient de l'or, de peur de se le faire voler, déposaient cet or dans les coffres-forts des orfèvres. Ces derniers leur remettaient un reçu certifiant que les individus en question possédaient bel et bien tel montant d'or dans le coffre-fort de l'orfèvre. Au lieu de payer en or pour obtenir des produits, ces individus payaient avec ces reçus émis par l'orfèvre, et celui qui devenait le nouveau propriétaire de ces reçus, devenait ainsi le propriétaire du montant d'or inscrit sur le reçu, et était libre de se présenter en tout temps chez l'orfèvre pour retirer cet or.
L'orfèvre remarqua que la plupart des gens préféraient s'échanger ces reçus, au lieu de se présenter chez lui et réclamer leur or. Par exemple, pour une personne qui venait réclamer son or, dix personnes ne venaient pas, et préféraient s'échanger les reçus émis par l'orfèvre. L'orfèvre réalisa qu'il pouvait émettre ainsi sans risque dix fois plus de reçus qu'il avait d'or en réalité dans son coffre-fort. Tant qu'une proportion de dix personnes sur onze ne se présentent pas chez l'orfèvre pour réclamer leur or, alors là tout son système s'écroule et sa fraude est dévoilée, car il ne peut rembourser tout le monde, puisqu'il a dix fois moins d'or qu'il prétendait en avoir.
Les banques font exactement la même chose aujourd'hui. Elles ont remarqué que pour une personne qui venait à la banque et désirait être payée en argent liquide (papier-monnaie), environ dix personnes ne font que transférer des chiffres d'un compte à un autre, sans qu'il n'y ait aucun usage de papier-monnaie. C'est ce qui permet aux banques de "prêter" plus d'argent qu'elles en ont en réalité. Par exemple, une banque qui a $1 million en dépôt en argent liquide, peut ainsi prêter dix fois plus d'argent de comptabilité. La seule crainte du banquier, c'est qu'un nombre trop élevé de déposants viennent en même temps retirer leur argent de la banque, car il ne peut fournir qu'un déposant sur dix. Une des manières pour le banquier de se protéger contre un tel risque, c'est d'encourager les épargnants à laisser leur argent à la banque le plus longtemps possible (placements ou obligations), en leur accordant un taux d'intérêt plus élevé.
Depuis des années, l'usage d'argent de comptabilité a augmenté, et le banquier a pu ainsi créer un plus grand pourcentage d'argent de chiffres. ANSI, pour le troisième trimestre de 1995, il existait 3,1 milliards de dollars en billets de banque et pièces de monnaie, et le total des prêts non-hypothécaires, pour période, était de 216 milliards $, soit 70 fois le montant d'argent liquide existant dans le pays! Jusqu'à tout récemment, les banquiers devaient, selon la loi des banques, détenir une réserve de 4% en argent liquide. Mais en décembre 1991, le Parlement canadien a voté qu'à partir du 1er janvier 1994, cette réserve serait de zéro pour cent!
En d'autres mots, il n'y a plus aucune limite prescrite par la loi. La seule limite à la création d'argent par les banques, c'est le fait que des individus désirent encore être payés avec du papier-monnaie. Alors, on comprend que les banques vont faire tout leur possible pour éliminer tout simplement l'usage de papier-monnaie, en encourageant l'utilisation des cartes de débit, paiement direct, etc., pour en venir éventuellement à l'élimination de l'argent liquide. Elles prêcheront l'existence d'une seule forme d'argent, l'argent électronique. Les citoyens doivent tout faire pour empêcher que cela arrive, car l'élimination du papier -monnaie serait la plus grande fraude qui pourrait arriver dans le pays - elle donnerait aux banques le contrôle absolu de l'économie et de tous les individus.
Tout sur l’histoire des banques
Edward Griffin
Dans le livre La créature de l’île Jekyll, l’auteur, Edward Griffin, explique comment se servir du pouvoir et de l’argent pour contrôler les groupes et les institutions, en achetant l’autorité et l’emprise des gens qui les dominent. Ce procédé consiste à corrompre des politiciens, des partis politiques, des réseaux de télévision, des réseaux câblés, des journaux, des magazines, des agences de publicité, des agences de presse, des studios cinématographiques, des universités, des syndicats de travailleurs, des organismes religieux, des associations commerciales, des institutions à but non lucratif, des sociétés multinationales, des mouvements de scoutisme pour garçons et filles et ainsi de suite. En fait, n’importe quel groupe qui exerce une influence constitue une cible parfaite pour accroître ce contrôle. Les acquéreurs dont il est question dans cette leçon, ont beaucoup d’argent pour se procurer ce contrôle.
AVERTISSEMENT !
Vous êtes sur le point d’entrer dans une zone de réalité… Un endroit où la vérité est plus étrange que la fiction, où la connaissance est profonde, où les mythes sont détruits et les déceptions étalées au grand jour. En ces lieux, vous découvrirez les vraies leçons d’histoire. En ces lieux, de vraies aventures de la vie vous dévoileront la nature cachée de l’homme. Si vous poursuivez votre écoute, vous ne pourrez plus jamais retourner dans la zone floue d’où vous venez.
Bienvenue dans la zone de réalité. Je m’appelle Ed Griffin et j’ai écrit un livre intitulé La créature de l’île Jekyll, un second regard sur la Réserve fédérale. À la fin du manuel, j’encourage mes lecteurs à se joindre à moi pour détruire la Réserve fédérale, ce « monstre » du gouvernement américain. Je leur donne également les outils dont ils peuvent se servir pour y parvenir. À mon plus grand étonnement et plaisir, des milliers de lecteurs m’ont écrit pour joindre les rangs de ma croisade. Très embarrassé de ne pas posséder du matériel imprimé en quantité suffisante pour le leur expédier, le 18 novembre 1994, j’ai décidé d’enregistrer ce message.
Transportons-nous au premier siècle, dans un minuscule royaume appelé Fryggia, où un philosophe du nom d’Ethectate a déclaré qu’il existait quatre types d’apparences : les choses paraissent telles qu’elles sont ; elles ne paraissent pas telles qu’elles sont ; les choses sont ce qu’elles sont sans le paraître ; elles ne sont pas ce qu’elles sont et paraissent l’être. Cet homme aurait pu donner des cours bancaires et d’économie dans l’une de nos universités. Cela ne ressemble-t-il pas aux explications que l’on obtient en lisant les relevés de la Réserve fédérale ? Ethectate s’est servi d’un concept relativement simple et pourtant, lorsqu’il eut terminé son explication, personne ne comprenait toujours pas de quoi il parlait. Voilà ce à quoi nous devons faire face avec les experts de nos jours. Il cherchait seulement à dire que les apparences peuvent parfois être décevantes. Il nous a tout de même donné un chemin à suivre, un thème.
S’il existe quelque chose de décevant dans le monde, c’est bien le système de la Réserve fédérale. On peut le considérer comme le 4e type d’apparence qu’Ethectate décrivait comme suit : il n’est pas ce qu’il est et paraît l’être. Ma présentation portera sur ce thème.
La création du système de la Réserve fédérale (la Fed)…
Le titre du livre, La créature de l’île Jekyll, un second regard sur la Réserve fédérale, en dit très long sur le contenu ma présentation. L’île Jekyll existe vraiment. Elle se situe au large de la côte de Géorgie. Le système de la Réserve fédérale fut conçu sur cette île, en 1910, lors d’une réunion ultra secrète. Lorsque l’on opère en secret, cela signifie habituellement que l’on cache quelque chose. Tout ce dont je vous entretiendrai fut mis par écrit. En 1910, un petit groupe de millionnaires de New York, dont J. P. Morgan, William Rockefeller et leurs associés, possédait l’île Jekyll en totalité. Leurs familles venaient y passer les mois d’hiver. L’île servait de lieu de vacances et on l’appelait le Club de l’île Jekyll. Depuis, l’état de la Géorgie a acheté l’île. On y retrouve un pavillon où se trouve une pièce spéciale. Sur la plaque de laiton fixée à la porte de cette salle, on peut lire : le système de la Réserve fédérale fut créé dans cette pièce. On peut accéder à ces informations dans les bibliothèques.
En novembre 1910, le sénateur Nelson Aldrich envoya son train privé à une station de chemin de fer du New Jersey, tard le soir. Le train était prêt à le recevoir ainsi que six autres hommes qui venaient à la condition ultime de n’en souffler mot à personne. On leur avait demandé, par exemple, de se présenter à un moment précis et de ne pas souper ensemble le soir de leur départ. S’il advenait qu’ils arrivent au même moment, ils devaient prétendre qu’ils ne se connaissaient pas. Étant donné qu’ils étaient des hommes bien connus, on leur avait dit d’éviter les journalistes. L’un d’entre eux a même traîné un fusil de chasse pour prétendre qu’il allait en voyage de chasse aux canards si on lui demandait. Nous apprîmes plus tard à travers sa biographie qu’il n’avait jamais possédée d’armes à feu de sa vie. Il l’avait emprunté pour l’occasion. À bord du wagon, ils avaient reçu l'ordre de ne s’adresser l’un à l’autre que par leur prénom. Deux d’entre eux ont même utilisé des noms de code. La raison en était fort simple : le personnel de service à bord du train ne devait pas savoir qui ils étaient.
Le train privé voyagea pendant deux nuits et une journée, c’est-à-dire un voyage de mille milles, jusqu’à ce qu’il arrive à une voie d’évitement située à Brunswick, Géorgie. À partir de là, ils prirent un traversier jusqu’à l’île Jekyll. Pendant neuf jours, ils sont restés assis autour de la table du pavillon et ont éclairci tous les détails importants de ce qui allait devenir le système de la Réserve fédérale. Lorsqu’ils eurent terminé, ils retournèrent à New York et nièrent la tenue d’une telle réunion pendant un certain nombre d’années. Ce n’est que lorsque le système de la Réserve fédérale fut fermement établi qu’ils commencèrent à parler ouvertement de ce qu’ils avaient fait. Plusieurs d’entre eux rédigèrent des livres et des articles de revues sur le sujet. Il nous est maintenant possible d’en apprendre davantage sur ce qui s’est passé.
Qui étaient ces hommes ? Le sénateur Nelson Aldrich, chef de file républicain du Sénat (membre de la Commission monétaire nationale – ce comité spécial du Congrès, créé dans le but d’émettre des recommandations relatives à la réforme législative des opérations bancaires d’Amérique). Même à cette époque, les Américains s’inquiétaient de laisser tout le pouvoir financier entre les mains d’un petit groupe de banques et de sociétés de placement new-yorkaises. Ils l’appelaient la Fiducie monétaire (le Money Trust). Les citoyens voulaient mettre un terme à l’empire de cette dernière. Plusieurs politiciens ont été élus grâce à leur promesse d’aider à réaliser ce projet. D’ailleurs, l’un des objectifs de la Commission monétaire du sénateur Aldrich visait exactement à accomplir cela. Toutefois, le sénateur entretenait une relation commerciale avec l’homme d’affaires J. P. Morgan. Ce dernier était le beau-père de John D. Rockefeller fils et devint par conséquent, le grand-père de Nelson Rockefeller, un ancien vice-président des États-Unis.
Le deuxième homme présent à la réunion se nommait Abraham Piat Andrews, le secrétaire-assistant du Trésor américain. Plus tard, il devint un membre du Congrès et fut, tout au long de sa carrière, un homme très influent au niveau des milieux bancaires. Le troisième homme s’appelait Frank Vanderlip, le président de la National Bank de New York, la plus grande et la plus puissante banque d’Amérique. Il représentait les intérêts financiers de William Rockefeller et de la société d’investissement internationale Kuhn, Loeb and Company. Henry Davison, l’associé principal de la J. P. Morgan Company, était présent. Charles Norton, le président de la First National Bank de New York, participait à cette réunion. Benjamin Strong, le directeur général de la J. P. Morgan’s Bankers Trust Company, y assistait également. Il en devint d’ailleurs le P.D.G., trois ans plus tard, suite à l’adoption de la Loi sur la Réserve fédérale. Enfin, Paul Warburg prenait lui aussi part à la réunion. Il était probablement l’homme le plus important en ces lieux grâce à ses connaissances bancaires européennes. Allemand de souche, il se fit éventuellement naturaliser citoyen américain. En plus d’être un partenaire de la Coon, Loeb and Company, il représentait également la dynastie bancaire Rothschild en Angleterre et en France. De plus, il entretenait des liens étroits avec son frère Max, le directeur en chef du consortium bancaire Warburg en Allemagne et aux Pays-Bas. Paul Warburg était l’un des hommes les plus riches du monde. Ces sept hommes qui se trouvaient sur l’île Jekyll, représentaient à eux seuls en ce temps, directement et indirectement, approximativement un quart de la richesse planétaire globale.
Voici comment tout cela s’est vraiment déroulé. Frank Vanderlip affirma dans un article du Saturday Evening Post du 9 février 1935 : « Je ne crois pas exagérer en considérant notre expédition secrète sur l’île Jekyll comme une occasion en or de créer ce qui devint éventuellement le système de la Réserve fédérale, et ce, même si le mot d’ordre voulait que l’on garde ce fait le plus secret possible. Une fois installés à l’intérieur du train, nous avons commencé à respecter l’interdiction d’utiliser nos noms de famille respectifs. Nous nous adressions l’un envers l’autre en tant que Ben, Paul, Nelson et Abe. Davison et moi avions même poussé la mascarade jusqu’à abandonner nos prénoms. Davison prit le nom de Wilbur et j’empruntai le nom d’Orville, en l’honneur des deux frères Wright, les pionniers de l’aviation. Il se peut que les serviteurs et les employés du train aient reconnu un ou deux d’entre nous, mais ils ne nous connaissaient pas tous. Nos noms réunis auraient pu à eux seuls donner une toute autre portée à notre expédition, tant à Washington, qu’à la Bourse de New York ou même à Londres. Il ne fallait tout simplement pas que l’on nous découvre. » Pourquoi, demande Ed Griffin ?
Vanderlip donne une réponse à cette question dans le même article : « Éventer le secret du rassemblement de notre groupe en particulier et de nos travaux équivalaient à anéantir toutes chances que le Congrès vote la Loi sur le comportement des banques. » Pourquoi ? Parce que le but de cette loi consistait à mettre un terme à l’empire de la Fiducie monétaire et croyez-le ou non, cette loi avait été écrite par les membres mêmes de la Fiducie monétaire. C’est aussi simple que cela. Si le public avait eu connaissance de cette réunion, le système de la Réserve fédérale n’aurait jamais vu le jour. Comme si l’on demandait à un renard de construire un poulailler et d’y installer un système d’alarme ! Cette réunion devait avoir lieu dans le plus grand secret. Ni le grand public, ni le Congrès ne l’aurait acceptée. En d’autres termes, on créa la Réserve fédérale secrètement parce qu’elle aurait suscité trop de déception. De plus, d’autres raisons s’ajoutent à cela. Analysons la composition du groupe.
Ici, nous avons les Morgan, les Rockefeller, les Warburg et ainsi de suite, tous assis à discuter autour d’une table. Il se peut que vous vous demandiez ce qu’il y a de mal à cela. Eh bien ! Ce qui ne va pas, c’est que tous ces gens étaient des compétiteurs, des géants de la finance mondiale qui se battaient non seulement à New York, mais également à Londres ou à Paris, entre autre. Les livres d’histoire décrivent cette époque américaine comme l’aube de la période du cartel. Une transition idéologique majeure s'opérait en affaires. Les grandes entreprises avaient pris de l’extension au niveau de leur pouvoir d’action et de leur prospérité grâce à la concurrence permise par la libre entreprise. Cet état de fait conféra une supériorité aux États-Unis et lui permit de surpasser l’ordre mondial suranné. À partir de cet instant, les grandes entreprises transformèrent leur idéologie en monopole et évitèrent ainsi la concurrence. Pour reprendre les paroles de John D. Rockefeller père : « La concurrence est un péché. » Les dirigeants de ces entreprises consacrèrent leur vie à l’élimination de la concurrence, quel qu’en soit le prix. S’ils n’y parvenaient pas, ils l’achetaient ou, dans la mesure du possible, s’y associaient en un monopole partagé. C’est ce qu’on appelle un cartel.
Cette transition se produisit à cette période de l’histoire. Pendant les quinze années qui ont précédé le rassemblement sur l’île Jekyll, les groupes financiers de toutes les industries s’étaient progressivement associés en joint-ventures au lieu de concurrencer l’un contre l’autre. Ils s’étaient rendu comptent que cela fonctionnait et l’ont apprécié.
Nous étudierons maintenant la deuxième ahurissante réalisation au sujet de la Réserve fédérale. Nous verrons d’ailleurs qu’il ne s’agit aucunement d’une organisation gouvernementale. Il s’agit d’un cartel ! Ils ont créé un cartel bancaire et l’ont rendu légal, conformément à la loi. Personne n’apprendra cela à l’école. Un troisième élément s’ajoute à cette histoire : ce cartel s’est associé au gouvernement.
Lorsque l’on forme un partenariat, toutes les parties doivent profiter de certains avantages. Qu’est-ce que le gouvernement gagne avec tout cela ? Examinons ensemble par quel mécanisme le gouvernement fédéral crée l’argent. Comment est-ce que l’argent voit le jour ? Nous devrions le demander au magicien Mandragore. Il pourrait créer quelque chose à partir de rien, puis le faire disparaître par la suite. N’essayez pas de comprendre. Voici comment cela se passe et je vous le présenterai le plus simplement possible.
DE L’ARGENT CRÉÉ COMME PAR MAGIE…
Le Congrès à besoin d’argent et en quantité beaucoup plus importante que ce qu’il perçoit en impôts. Les impôts représentent une fraction de ce que le Congrès requiert pour fonctionner. Comment peut-il dépenser plus que ce qu’il touche en impôt ? Étudions son mode de fonctionnement… Supposons que le Congrès a besoin d’un milliard de dollars pour payer les dépenses du jour. Il s’adresse alors au Trésor et le trésorier-payeur général lui répond : « Vous devez blaguer ! Nous n’avons aucun argent disponible. Vous l’avez dépensé en entier durant les mois de février et mars. Tout ce que nous avons perçu en impôt est parti en fumée. » Le Congrès affirme qu’il le sait. Ils en arrivent à la conclusion qu’ils auraient dû puiser l’argent dans les fonds publics. Puis, le Congrès passe par l’imprimerie non pas pour faire imprimer de l’argent, mais plutôt des certificats. De beaux billets où apparaissent, dans la partie supérieure, un aigle et la mention : Bon du Trésor des États-Unis (billet ou promesse, suivant la date d’échéance). En fait, ce sont des reconnaissances de dettes et le Congrès espère qu’elles inciteront les gens à emprunter au gouvernement en retour. Plusieurs personnes le font parce qu’elles ont entendu dire qu’il s’agit de l’un des meilleurs investissements à faire. Gardez toujours ceci à l’esprit : le gouvernement vous fait croire que vous investissez, mais en réalité, vous lui prêtez de l’argent lorsque vous achetez ses valeurs. Il affirme qu’il s’agit du meilleur investissement possible parce qu’il est avalisé par la confiance et le crédit du gouvernement des États-Unis. Cela signifie que le gouvernement s’engage solennellement à vous rendre votre argent avec des intérêts, même s’il doit vous prendre tout ce que vous possédez en impôt pour y arriver.
Puis, les représentants du Congrès et du Trésor se rendent ensemble jusqu’à l’immeuble de la Réserve fédérale. La Fed les attendait. Elle rédige immédiatement un chèque d’un milliard de dollars au Trésor des États-Unis. Qui a payé ce milliard de dollars ? La réponse : il n’existe pas. Il n’y a même pas de compte de chèques, seulement un livret. De l’argent instantané. Vous et moi irions en prison en agissant ainsi. Cependant, ils peuvent le faire parce que le Congrès le leur demande. Le gouvernement est impliqué dans ce partenariat pour cette même raison. Le gouvernement peut ainsi accéder instantanément au montant d’argent qu’il désire et au moment qu’il le souhaite, sans avoir besoin de demander l’approbation des contribuables sous forme d’impôt direct. Si le gouvernement s’adressait aux contribuables en disant qu’il avait besoin de l’argent et que pour se faire, il devait augmenter leurs impôts de 3 000 $, ces derniers ne voteraient plus pour lui aux prochaines élections. Le gouvernement aime se servir du mécanisme de Mandragore parce qu’il peut ainsi obtenir de l’argent immédiatement sans que personne ne le sache. Le gouvernement fait partie de ce partenariat pour cette raison. Toutefois, on peut se demander pourquoi le cartel bancaire y participe également.
Le cartel bancaire est impliqué dans ce partenariat parce que le trésorier-payeur général prendra le chèque d’un milliard de dollars et le déposera dans le compte de chèques du gouvernement qui se trouve à la Réserve fédérale. À ce moment, l’ordinateur indiquera que le compte du gouvernement contient un milliard de dollars instantané. Cela signifie qu’à partir de cet instant, le gouvernement peut émettre des chèques gouvernementaux d’un montant égal. Prenez l’exemple d’un chèque de 100 $ libellé au nom d’un employé des postes. Cette personne ne croirait pas que cet argent n’existait pas deux jours plus tôt. D’ailleurs, elle ne s’en soucierait pas puisqu’elle peut le dépenser. L’argent se trouve maintenant ailleurs qu’à la Fed ou qu’entre les mains des partenaires du gouvernement, c’est-à-dire du côté bancaire commercial. Le banquier se dirige alors vers la fenêtre des prêts et annonce : « Puis-je avoir votre attention s.v.p. ? Nous avons de l’argent à prêter. » Maintenant, tout le monde est heureux et pourtant, chacun d’entre eux ressent de l’inquiétude face au maigre montant de 100 $. Alors, le banquier les rassure en disant de ne pas s’inquiéter parce qu’il peut leur prêter 900 $. Comment est-ce possible ? Comment est-ce que les banques peuvent prêter un montant de 900 $ alors que la somme déposée n’était que de 100 $ ? Voici la réponse :
Le système de la Réserve fédérale exige aux banques de garder en réserve au moins 10 % des dépôts effectués. Elles doivent conserver 10 $ par tranche de 100 $ et prêter la différence, soit 90 $. Puis, dès qu’un citoyen emprunte ce 90 $ et le dépose dans son compte de chèques, le même cercle vicieux recommence et ainsi de suite. D’où venait tout cet argent ?
La réponse est la même : l’argent n’existait pas. Il est apparu au moment précis où quelqu’un fit l’emprunt. Rappelez-vous. L’argent créé à partir de rien et remis au gouvernement, a été dépensé par ce dernier pour réaliser ses projets. D’autre part, les banques n’ont pas dépensé l’argent créé à partir de rien pour elles, elles nous l’ont plutôt prêté afin que nous réalisions nos projets. Toutefois, elles perçoivent de l’intérêt sur ces prêts qui, en fin de compte, n’existe pas. Tous les citoyens aimeraient posséder un livret de chèques magiques comme celui là et percevoir de l’intérêt sur les prêts ! C’est la raison pour laquelle le cartel bancaire est partenaire dans cette affaire. Tout cela est légal. On charge de l’intérêt sur rien. Cependant, le processus ne s’arrête pas là.
Quelles en sont les conséquences ? Cet argent créé à partir de rien se retrouve dans le système économique et ces nouveaux dollars diminuent la valeur de ceux qui y circulent déjà. On peut comparer ce phénomène au principe de délaiement de la soupe. Lorsqu’une soupe est trop épaisse, on y ajoute de l’eau pour la diluer. Les prix commencent alors à augmenter et l’inflation s’abat sur l’économie. En fait, contre toute apparence, on a l’impression que les prix augmentent. Et le mot apparence est juste. En théorie, les prix n’augmentent pas. En réalité, la valeur des dollars diminue. Si l’argent des Américains valait le prix de l’or, de l’argent ou d’un tout autre effet de commerce tangible et qu’il n’était pas créé à partir de rien, les prix resteraient fixes. Si nous avions vécu dans la Rome antique, nous aurions pu acheter, avec une pièce d’or d’une once, les vêtements de base (toge, sandales, et ainsi de suite). Que pouvons-nous acheter aujourd’hui avec cette même pièce d’or ? Il nous est possible d’entrer dans n’importe quelle mercerie pour homme et d’acheter un complet de bonne qualité, des souliers, une ceinture faite à la main et ainsi de suite. Le prix réel de ces articles s’est maintenu depuis des milliers d’années, lorsque l’on en parle en termes d’argent réel. Les billets de la Réserve fédérale nous permettent d’acheter de moins en moins d’articles parce qu’il y en a de plus en plus en circulation.
Nous avons perdu notre pouvoir d’achat. Qui est-ce qui le détient maintenant ? Ceux-là même qui se trouvaient à l’autre extrémité du tuyau, c’est-à-dire le gouvernement (un milliard de dollars), puis ceux qui travaillent pour lui comme les entrepreneurs et les autres. Et qui dispose de l’argent qui provient des banques ? D’abord, les banques puis les emprunteurs ? Non ! Parce que l’argent que vous avez emprunté aux banques, vous devez le leur rembourser en plus des intérêts. La banque s’empare de vos gains. Depuis la création de la Réserve fédérale, nous vivons dans un cycle économique en dents de scie. Si vous ne pouvez effectuer vos paiements, les banques vous prennent tout. C’est ce qui avait été prévu. Ceux qui profitent de votre perte et qui achètent le pouvoir sont le gouvernement et les cartels bancaires.
Pour résumer la situation, voici la vérité au sujet de l’argent : soulignons et comprenons d’abord l’importance de certaines réalités fondamentales de notre système bancaire et monétaire. Tout l’argent que les banques émettent et font circuler est produit sous forme de prêt. Cet argent comporte donc un coût, c’est-à-dire de l’intérêt. Lorsque les gouvernements permettent aux banques d’émettre la masse monétaire d’un pays, ils doivent percevoir des taxes afin que les banques puissent récolter de l’intérêt sur l’argent qu’elles ont créé. Cela dévalorise automatiquement les citoyens puisque les banques ne créent jamais d’argent pour payer l’intérêt imposé par l’utilisation de leur argent, mais seulement le principal. En conséquence, pour acquitter l’intérêt, on puise inévitablement dans l’actif du pays et des citoyens par des mécanismes tels que la création de dettes, les faillites et les forclusions. On prélève, de surcroît, des taxes à la source pour accélérer le processus. Une société qui admet et qui accepte que l’on utilise l’argent des banques plutôt que sa propre devise créée librement par elle expose inéluctablement ses citoyens au cycle économique des dépressions et au désarroi de la population.
Le processus dont il est question est en fait une taxe. Qu’on l’appelle inflation ou autre, cela reste une taxe. Vous ne pouvez aucunement la contrôler, on vous l'arrache sans exonération, sans déduction. C’est la taxe la plus directe qui existe, bien plus que les impôts ou les taxes indirectes. D’ailleurs, elle touche encore plus fortement ceux qui peuvent le moins se permettre de la payer. Par conséquent, le système de la Réserve fédérale est l’auteur de la taxe la plus injuste qui soit. Cette taxe s’abat sur les gens qui gagnent un salaire fixe, les gens à la retraite ou quiconque a réussi à épargner de l’argent. Elle les assaille encore plus durement que ceux qui empruntent. Si vous ne deviez vous souvenir que d’un seul détail de ce cours, veuillez s’il vous plaît vous rappeler de celui-ci : l’inflation et la taxe ne font qu’un ! Voilà pourquoi ces deux groupes font partie du partenariat. Du côté gouvernemental, ils peuvent taxer les citoyens de n’importe quelle façon et à n’importe quel coût, sans que ceux-ci en aient la moindre idée. Du côté bancaire, ils peuvent percevoir des intérêts sur rien en perpétuité. Retournons à l’île Jekyll. L’idée a germé en ces lieux.
Un jeu de mot trompeur…
Ce modèle de partenariat fut conçu en Europe, au 16e siècle. On l’expérimenta et le perfectionna éventuellement avec la formation de la Banque d’Angleterre en 1694. À partir de cette date, tous les gouvernements européens ont utilisé ce mode de fonctionnement. Bien entendu, ils ne l’ont pas appelé le mécanisme de Mandragore, mais plutôt la Banque centrale. Amener ce mode procédé en Amérique exigeait qu’on le nomme différemment. Alors, après un long débat, ses créateurs, qui commencèrent par lui trouver le nom « Fédérale », parce que cela évoquait une opération gouvernementale, optèrent ensuite pour le mot « Réserve » afin que l’on croie à l’existence de réserves en un certain endroit. Enfin, ils ajoutèrent le mot « Système » parce qu’il semblait beaucoup plus important qu’il n’en ait l’air aujourd’hui. Souvenez-vous de la première concentration new-yorkaise du pouvoir – ils devaient convaincre les Américains qu’ils créaient un système réunissant plusieurs banques et non une seule. Construire d’énormes édifices bancaires à travers le pays. Nous savons maintenant que ce que nous avons obtenu n’a rien de fédéral, que les réserves n’existent pas, qu’en réalité, le système ne répartit pas ses pouvoirs et que les Réserves fédérales ne sont pas des banques.
Ils ont monté cette brillante déception de toute pièce puis l’ont vendue aux Américains. La première ébauche du projet de loi sur la Réserve fédérale s’appelait la Loi Aldrich (the Aldridge Bill) parce que le sénateur Aldrich lui accordait son appui. Paul Warburg lui déconseilla toutefois d’agir ainsi parce qu’à son avis, le Congrès voterait contre ce projet de loi étant donné qu’on identifiait trop souvent Aldrich à des grandes entreprises. Toutefois, l’ego du sénateur Aldrich était tellement gonflé qu’il présenta tout de même le projet de loi Aldrich au Congrès. Warburg avait raison. Le Congrès refusa de l’accepter. Ce fut un contretemps mineur. Ils retirèrent alors le nom d’Aldrich du projet de loi et trouvèrent quelques démocrates millionnaires (le parti ami des petits contribuables) afin que ceux-ci y apportent leur appui. Ces hommes s’appelaient Carter Glass, de la Chambre des représentants, et le sénateur Owen, un banquier lui-même très respecté au sein du Sénat. Puis, on changea le nom du projet de loi pour le Glass-Owen (the Glass-Owen Bill). Aldrich et Vanderlip commencèrent alors à répondre à des entrevues pour condamner le projet de loi… qu’ils avaient eux-mêmes écrit. Ils affirmaient que ce système ruinerait les banques et la nation. Le grand public se dit alors : « si les grands banquiers ne sont pas en faveur de ce projet de loi, il doit alors s’agir d’un très bon système. » Une grande déception planifiée ! Il va sans dire que l’on comprenait parfaitement le fonctionnement de la psychologie de masse. Pendant ce temps, les mêmes individus finançaient secrètement des messages pour louanger le nouveau projet de loi sur la Réserve fédérale. Ils donnèrent de l’argent aux universités. Ils établirent de nouveaux départements d’économie. Ils sélectionnèrent les professeurs et les directeurs des ces départements parmi leurs gens. Ces professeurs commencèrent à vanter les mérites de ce nouveau et merveilleux système. Puis, à la demande de Paul Warburg, ils ajoutèrent quelques excellentes clauses au projet de loi. Cela contraria ses associés. Warburg leur rappela néanmoins que leur seul objectif visait à l’acceptation de ce projet de loi. Ils pourraient ensuite rectifier la situation.
Ces nouvelles clauses ajoutées au projet de loi attirèrent l’appui de William Jennings Bryan, l’homme à la tête du mouvement populiste. Il s’était opposé au projet de loi depuis le début, mais en voyant les nouvelles clauses, il lui accorda sa faveur. Cet appui ouvra la voie au projet de loi. On a amandé la Loi sur la Réserve fédérale plus de cent fois depuis son adoption. Chacune des excellentes clauses a depuis longtemps été éliminée. Par contre, plusieurs autres ont été rajoutées, ce qui a permis d’augmenter encore davantage les pouvoirs et la portée du système de la Réserve fédérale. La Loi fut adoptée majoritairement le 22 décembre 1913, avec l’appui du Congrès et du public. La créature quitta finalement l’île Jekyll pour s’installer dans le district fédéral de Washington.
LES SOI-DISANT OBJECTIFS DE LA FED…
Reportons maintenant notre attention sur les objectifs du système de la Réserve fédérale. Selon ce que l’on nous a dit, l’objectif de la Fed consiste à stabiliser l’économie et à arrêter les opérations bancaires chaotiques. Paul Samuelson rédigea un manuel scolaire sur l’économie très populaire dans les collèges et universités américaines. Cet ouvrage soutient que la Fed découle de la panique de 1907 avec ses épidémies de faillites bancaires alarmantes. Les États-Unis en avaient assez. Voici ce qu’apprennent les étudiants et voilà pourquoi ils piquent actuellement notre curiosité. Alan Greenspan, président de la Réserve fédérale affirme qu’ils font cela pour aider les gens, pour stabiliser l’économie, afin que le peuple américain n’ait pas à subir une inflation démesurée ! Depuis sa création, la Réserve fédérale a présidé les Krachs de 1921 et 1929, la Grande dépression de 1929-1939, les récessions des années 53, 57, 69, 75 et 81 et le lundi noir de 1987, où 22 % des valeurs totales de la Bourse chutèrent en une journée. Nous savons tous que la dette des entreprises monte en flèche, que les dettes personnelles s’accroissent démesurément. Les faillites d’entreprises et personnelles n’ont jamais été si nombreuses. Les banques et les sociétés de crédit immobilier n’ont jamais essuyé un si grand nombre d’échecs. L’intérêt sur la dette nationale ronge la moitié de nos dollars imposés. L’industrie lourde est maintenant presque entièrement remplacée par des compétiteurs outre-mer. Pour la première fois dans l’histoire, nous faisons face à une balance commerciale internationale déficitaire. Des étrangers possèdent maintenant 75 % du quartier centre de Los Angeles et des autres régions métropolitaines. Plus de la moitié de la nation est officiellement en récession. Voici les résultats scolaires obtenus par le système de la Réserve fédérale après 80 années de soit disant stabilisation de notre économie. La Fed n’a pas atteint ses objectifs. Pourquoi ? Parce qu’à mon avis, ces derniers n’ont jamais été ses buts réels !
Quels sont les véritables objectifs de la Fed ? Quels buts réels un cartel quelconque peut-il viser ? Tous deux cherchent à accroître les marges bénéficiaires des membres et à stabiliser leur situation sur le marché. En gardant cela à l’esprit, une image différente s’offre maintenant à nos yeux. Ils remportent un grand succès. Les banquiers de l’île Jekyll voulaient atteindre trois objectifs :
1. Mettre un terme à l’éparpillement de leur pouvoir pour le concentrer à New York. Ils auraient plutôt dû faire exactement le contraire. Ils craignaient que des banques dynamiques apparaissent brusquement à travers tout le pays. Ils désiraient éliminer la concurrence que représentaient les nouvelles banques en imposant des conditions auxquelles les grandes banques pouvaient répondre mais non les petites ;
2. Renverser la tendance de ce qu’ils appelaient la formation du capital privé. Ils ne voulaient pas que les individus dépensent leur propre argent. Ils désiraient que tout le monde aille à la banque pour se procurer de l’argent. En début de siècle, la formation de capital privé tendait à s’établir et plus particulièrement en affaire. Les entreprises investissaient certains de leurs profits dans un fonds. Ce capital prenait de la valeur, puis les dirigeants de ces entreprises utilisaient leur propre argent pour construire des usines, organiser la recherche et le développement ou pour faire quoique ce soit d’autre. Les banques n’appréciaient pas cette tendance. Elles voulaient inciter les entreprises à recommencer à emprunter leur argent. Elles savaient que la seule façon d’y arriver consistait à baisser les taux d’intérêt. Contrairement à aujourd’hui, il n’existait aucun mécanisme pour augmenter ou réduire les taux d’intérêt… parce qu’à cette époque, l’argent était avalisé par l’or et l’argent. On ne peut contrôler ce type d’argent. C’est une question d’offre et de demande. Personne, individu ou politicien, ne peut le faire. Seuls des millions de citoyens en interaction libre peuvent le contrôler. Ils savaient que la seule façon dont ils disposaient pour ramener les gens dans les banques consistait à réduire artificiellement le taux d’intérêt normal. Ils affirmèrent que la nation requérait une devise flexible…pour répondre aux demandes de l’industrie. Que cela signifie-t-il ? De l’argent créé à partir de rien. Si vous arrivez à créer cela, vous n’aurez pas à percevoir beaucoup d’intérêts pour faire des profits. Une devise souple leur permettra de réduire les taux d’intérêt sous le niveau normal, de réaliser des profits en quantité importante et d’inciter les hommes d’affaires à revenir aux banques. Le deuxième objectif consistait donc à établir une devise souple.
3. Transférer les pertes inévitables des banques aux contribuables au nom de la protection des gens. Ceux-ci sont les véritables objectifs de la Réserve fédérale.
Émettons maintenant un autre bulletin scolaire pour savoir à quel point elle les a atteints.
1. Ont-ils réussi à garder le contrôle en ce qui a trait aux grandes banques new-yorkaises ? Oui ! Pendant que nous disposons des grandes banques dans l’ouest et le sud des États-Unis, les incomparables méga banques de New York se développent dans toutes les grandes villes du monde. Les grandes banques poursuivent leur domination. Il y a quelques années, William Grider écrivit un ouvrage très important : Les secrets du temple, publié par Simon et Shuster (une maison d’édition notoire aux États-Unis). On décrivit le contenu de ce livre comme une attaque incisive envers le système de la Réserve fédérale. Deux points ressortaient de cet ouvrage. Grider y racontait une excellente histoire qui ne camouflait aucun détail. Il prouva tout à fait que la Réserve fédérale avait toujours agit contre l’intérêt public et qu’elle avait été conçue ainsi dès le tout début. Quelles étaient alors ses solutions ? Abolir la Fed? Non. Rien d’extrême à ce point. Pensait-il à une réforme ? Non plus. Il y proposait plutôt de se détendre et d’apprendre chemin faisant parce que tout était si compliqué, mais à la fois sous contrôle. Dans le fond, nous n’avions besoin que d’hommes plus intelligents, c’est-à-dire d’une opposition contrôlée. Selon lui, cela ne faisait aucune différence d’être explicite dans notre histoire. Cela ne changerait rien de condamner. Ne pas disposer d’une solution réaliste revenait à ne pas détenir de solution du tout.
Il ne s’agit pas d’un problème entre républicains et démocrates. Même si les républicains ont promu la cause de la Fed à un degré supérieur, les membres du parti démocrate ont eux aussi mis la main à la pâte. On parle alors d’opposition contrôlée. La Réserve fédérale obtient donc un « A » pour avoir conservé le contrôle à New York.
2. A-t-elle réussi à renverser la tendance à former du capital privé ? Oui ! La réduction des taux d’intérêt durant certaines périodes allécha les individus et les entreprises à un point tel qu’il eût été fou de ne pas en tirer profit. Pourquoi économiser votre argent ? C’est stupide ! Alors, ces derniers se ruèrent dans les banques et empruntèrent considérablement. Puis, l’économie vacilla. Par conséquent, ils ne purent rembourser leurs dettes et durent déclarer faillite. Présentement, plusieurs entreprises et individus parviennent tout juste à payer l’intérêt sur leur dette. Plus incroyablement encore, de nombreuses entreprises remboursent maintenant plus d’intérêt aux banques qu’elles ne payent de dividendes à leurs actionnaires. Pensez-y. Les banques, qui ont fabriqué l’argent à partir de rien, gagnent plus d’argent que ceux qui travaillent pour le gagner, l’économiser, le risquer et l’investir dans le but d’acheter ces entreprises. Une fois encore, la Réserve fédérale obtient un « A » grâce à sa devise souple. Elle est parvenue à renverser la tendance de la capitalisation privée.
3. Transférer les pertes inévitables des banques aux contribuables au nom de la protection des gens. Ce petit jeu s’appelle : mettre en liberté provisoire sous caution. Lorsqu’une grande banque se retrouve dans le pétrin à cause d’une entreprise majeure ou parce qu’un pays du tiers monde n’arrive plus à payer sa dette, elle se tourne vers le Congrès et lui demande de mettre cette entreprise ou ce pays en liberté provisoire sous caution. Autrement, cela porterait atteinte aux gens de l’Amérique. Si l’on accepte la disparition de cette vénérable entreprise, il faudra penser à tous les gens qui perdront leur emploi et qui se retrouveront sur l’aide sociale. Si le pays ne peut payer, le gouvernement des États-Unis devrait le faire à sa place parce qu’autrement, la banque de New York devra considérer son remboursement comme perdu, faire faillite techniquement et fermer ses portes. Pensez à ces milliers de personnes qui ont placé leur argent dans cette banque et qui risquent d’en ressentir les effets. Qui sait, peut-être que cette banque entraînera toutes les autres dans son sillon en un effet de dominos. Une dépression ou une récession pourrait faire souffrir les gens. Le Congrès vote alors des fonds pour garantir les emprunts ou fait les paiements entièrement. Ce principe ne s’applique qu’aux grandes banques. Des entreprises majeures telles la Penn Central Railroad and Lockheed Corporation en 1970, la Commonwealth Bank of Detroit en 1972, la ville de New York en 1975, la Chrysler Corporation 1978, la First Pennsylvania Bank en 1980, la Continental Illinois, la plus importante banque à ce jour, en 1982 et de nombreux pays, qui n’arrivaient pas à effectuer les paiements auparavant, les font maintenant grâce à l’argent prêté par le Fonds monétaire international et la World Bank. Ces derniers ont obtenu cet argent de la Réserve fédérale qui l’a, elle, obtenu de vous et moi à travers le mécanisme de Mandragore.
Comme dernier sujet de ce chapitre, nous aborderons le thème de l’usure. Qu’est-ce que l’usure ? Un intérêt de taux excessif. Autrefois (au temps biblique), on définissait usure en tant qu’intérêt sur un prêt. Aujourd’hui, cela signifie intérêt excessif sur un prêt. Thomas Edison disait que les gens qui ne contribuaient rien à un projet, en récoltaient plus d’argent que ceux qui y investissaient tout le travail et les matériaux. Je me suis imaginé que sur le prix d’une maison de 100 000 $, 30 000 $ serviraient à payer les frais de l’architecte, le terrain, les permis, etc. Le reste de l’argent, soit 70 000 $, permettrait de payer les matériaux de construction et les travailleurs. J’ai supposé que l’acheteur irait à la banque pour déposer 20 % du montant total et faire un emprunt sur 30 ans à un taux d’intérêt de 10 %. En calculant tout cela, vous arriverez à la même conclusion que moi : l’acheteur payera plus de 172 741 $ en intérêt à la banque, comparativement aux 70 000 $ versés aux travailleurs. En d’autres termes, la banque gagnera 2,5 fois plus que les autres. Cet argent fut créé à partir de rien. Charger 172 741 $ d’intérêt sur rien est excessif. Il est temps de donner une nouvelle définition au mot usure : tout intérêt chargé sur tout prêt d’argent créé à partir de rien. Cet exemple de maison de 100 000 $ ne représente qu’un infime petit grain de sable dans le désert du Sahara. Vous devez multiplier ce procédé par toutes les maisons, tous les hôtels et les gratte-ciel, toutes les avions à réaction, les automobiles, les usines, tous les entrepôts et sur toutes les fermes et leurs équipements de l’Amérique pour obtenir le montant que récolte les banques. On parle ici d’une rivière de richesses non gagnées et flottant continuellement à l’intérieur du cartel bancaire qui est tellement éparpillé qu’il nous est impossible à imaginer. La somme totale dépasse tout entendement. Cet argent devrait revenir à ceux qui travaillent pour le produire et non à ceux qui ont monté un extraordinaire racket ! Où va cet argent ?
Lorsque l’on possède tout l’argent nécessaire pour s’offrir tous les petits plaisirs de la vie, que reste-t-il à acquérir ? Le pouvoir ! Les membres du cartel bancaire utilisent cette rivière de richesses pour se procurer le pouvoir à nos dépens. Ils achètent le monde avec ces argents. Ils contrôlent les sociétés et les institutions qui offrent leurs directions et leurs orientations à des gens qui dépendent, vivent et agissent en fonction de ces dernières. Sur le plan technique et en termes sociologiques, on les appelle des centres de pouvoirs. Ils achètent l’influence et le contrôle de leurs dirigeants. Ce qui signifie qu’ils achètent des politiciens, des partis politiques, des réseaux de télévision, des réseaux câblés, des journaux, des magazines, des agences de publicité, des agences de presse, des studios cinématographiques, des universités, des syndicats de travailleurs, des organismes religieux, des associations commerciales, des institutions à but non lucratif, des sociétés multinationales, des mouvements de scoutisme pour garçons et filles, et ainsi de suite. N’importe quel groupe qui exerce une influence constitue une cible parfaite pour accroître ce contrôle. Et plus précisément ceux qui s’opposent à eux. Ce phénomène existe dans la plupart des pays industrialisés. Il est absolu dans plusieurs pays en voie de développement. Ils ont acheté ces pays.
Ne vous est-il jamais arrivé de vous questionner ce qui se passe dans les bureaux de la World Bank et des Fonds monétaires internationaux ? Vous constaterez que le Congrès autorise de temps en temps un autre prêt ou un don de 100 milliards de dollars à un petit pays. Il affirme qu’il agit ainsi pour accroître le niveau de vie de ce dernier. Pouvez-vous le croire ? Si vous observez toutes les nations qui, au cours des dernières décennies, ont reçu de l’aide, pouvez-vous en trouver une seule dont le niveau de vie de ses citoyens a augmenté. Dans la plupart des cas, c’est tout le contraire. La raison est simple. L’argent ne servait pas à cela. On ne remet pas l’argent aux gens ni aux entreprises. On le donne plutôt aux politiciens et aux gouvernements pour consolider leurs mécanismes de contrôle des gens. Ils n’ont rien à faire du bien-être de leurs gens. Leur propre confort prime. L’idéologie ne veut rien dire pour eux. Le socialisme, le capitalisme, le communisme, le fascisme, n’ont aucune signification. Tout ce qu’ils désirent c’est l’argent. Il est choquant de constater qu’en Amérique du Nord nous devons traiter avec les 2e et 3e générations de familles sur l’aide sociale. En plus, le système actuel a créé parmi les gouvernements du tiers monde, une deuxième et troisième génération d’assistés sociaux. Ils sont dépendants. Ils ne sauraient que faire sans cet argent. Ils sont maintenant en place dans l’ordre mondial.
Ce transfert de richesses au tiers monde, qui provient de l’Amérique, n’augmente non seulement pas leur niveau de vie, mais contribue également à diminuer le nôtre. Cela fait partie de la stratégie. Une nation vigoureuse n’est pas sujette à rendre sa souveraineté, mais une faible nation l’est. Si on peut faire fléchir l’Amérique, elle acceptera sûrement les mesures totalitaires des Nations Unies pour garder la paix ou les secours d’un système monétaire international. Le jeu ne s’appelle pas la richesse, mais le pouvoir.
Qu’allons-nous faire de cette créature ? Qu’allons-nous faire du Congrès ? Ils ont créé un monstre et peuvent l’abattre. Nous devons toutefois mettre le feu sous les sièges qu’occupent les membres du Congrès. Nous devons élire de nouveaux visages au Congrès. Par contre, les électeurs doivent être informés. Nous avons besoin d’une armée éducative sur place. La mauvaise nouvelle c’est que nous manquons de temps. Le nouvel ordre mondial se concrétise autour de nous. Une cour de justice mondiale, une autorité d’imposition mondiale, un système monétaire mondial, une armée mondiale. En ce moment, environ la moitié de l’armée des États-Unis fonctionne sous le commandement de dirigeants étrangers.
Il y a également une bonne nouvelle : nous pouvons encore y arriver. Il nous reste du temps. Nous sommes encore libres. Nous pouvons encore parler librement. Nous pouvons encore élire les représentants de notre choix. Rappelez-vous : notre liberté en dépend. Merci !
Vous venez de lire l’adaptation en français d’une présentation que donnait M. Edward Griffin, l’auteur de « The creature from Jekyll Island ».
Witten in 1802 !
« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d'abord par l'inflation, ensuite par la récession, jusqu'au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquis.»
Commentaire JMC : Il faut ne jamais privatiser la culture, l’éducation, la Recherche, la santé et les routes afin que l’économie tourne à son avantage afin de ne pas dépasser 60% en pauvreté.
Un autre déséquilibre fiscal, selon Lauzon
PLUS D'INFO
Léo-Paul Lauzon
Une étude de Léo-Paul Lauzon révèle que l'apport des entreprises aux revenus de l'État a diminué de façon radicale depuis quelques décennies, au détriment des particuliers qui en fournissent maintenant la majeure partie.
Selon le professeur du Département des sciences comptables de l'UQAM, il y a 40 ans, les sociétés engrangeaient 37,6 milliards de dollars de profits et payaient 17,5 milliards d'impôt à Ottawa, soit environ 55 % des recettes fédérales. Les particuliers fournissaient les 45 % restant, soit 14,2 milliards dollars.
Or, selon les données de 2004, les entreprises, avec des profits de 175,1 milliards, ont versé 29,4 milliards au gouvernement fédéral. Pour leur part, les particuliers envoyaient à Ottawa 117,2 milliards, dont 88,9 milliards en impôt sur le revenu, fournissant ainsi à l'État 80 % de ses recettes.
Il observe le même phénomène à l'œuvre au Québec, où la part des recettes fiscales assurée par les particuliers est passée de 62 % en 1964 à 88 % en 2004.
Le titulaire de la Chaire d'études socio-économiques de l'UQAM y voit une forme indéniable de déséquilibre fiscal et presse Québec et Ottawa de cesser d'octroyer aux compagnies des avantages fiscaux indus.
Il rappelle qu'au Québec, 52 % des entreprises n'ont pas payé d'impôt en 2004. Il souligne en outre que les entreprises québécoises reçoivent 1,39 $ en aide gouvernementale pour chaque dollar versé à l'impôt, soit une perte de 5,7 milliards par an pour Québec.
La recherche, effectuée par le professeur Lauzon et son équipe, s'appuie sur des données compilées par Statistique Canada et par les agences du revenu du Québec et du Canada
Comme le système monétaire est non enseigné, plusieurs personnes se laissant berner et bercer par les propagandistes de l’endettement public : Du nouvel argent sa ce crée a partir de la consommation, non pas à partir de dettes comme présentement, c’est ce qui nous appauvris collectivement.
L'île des naufragés
Fable qui fait comprendre le mystère de l'argent
Par Louis Even
1. Sauvés du naufrage
Une explosion a détruit leur bateau. Chacun s'agrippait aux premières pièces flottantes qui lui tombaient sous la main. Cinq ont fini par se trouver réunis sur cette épave, que les flots emportent à leur gré. Des autres compagnons de naufrage, aucune nouvelle. Depuis des heures, de longues heures, ils scrutent l'horizon: quelque navire en voyage les apercevrait-il? Leur radeau de fortune échouerait-il sur quelque rivage hospitalier? Tout à coup, un cri a retenti: Terre! Terre là-bas, voyez! Justement dans la direction où nous poussent les vagues! Et à mesure que se dessine, en effet, la ligne d'un rivage, les figures s'épanouissent.
Ils sont cinq: François, le grand et vigoureux charpentier qui a le premier lancé le cri: Terre! Paul, cultivateur; c'est lui que vous voyez en avant, à gauche, à genoux, une main à terre, l'autre accrochée au piquet de l'épave; Jacques, spécialisé dans l'élevage des animaux: c'est l'homme au pantalon rayé qui, les genoux à terre, regarde dans la direction indiquée; Henri, l'agronome horticulteur, un peu corpulent, assis sur une valise échappée au naufrage; Thomas, le prospecteur minéralogiste, c'est le gaillard qui se tient debout en arrière, avec une main sur l'épaule du charpentier.
2. Une île providentielle
Remettre les pieds sur une terre ferme, c'est pour nos hommes un retour à la vie. Une fois séchés, réchauffés, leur premier empressement est de faire connaissance avec cette île où ils sont jetés loin de la civilisation. Cette île qu'ils baptisent L'Ile des Naufragés.
Une rapide tournée comble leurs espoirs. L'île n'est pas un désert aride. Ils sont bien les seuls hommes à l'habiter actuellement. Mais d'autres ont dû y vivre avant eux, s'il faut en juger par les restes de troupeaux demi-sauvages qu'ils ont rencontrés ici et là. Jacques, l'éleveur, affirme qu'il pourra les améliorer et en tirer un bon rendement. Quant au sol de l'île, Paul le trouve en grande partie fort propice à la culture. Henri y a découvert des arbres fruitiers, dont il espère pouvoir tirer grand profit.
François y a remarqué surtout les belles étendues forestières, riches en bois de toutes sortes: ce sera un jeu d'abattre des arbres et de construire des abris pour la petite colonie. Quant à Thomas, le prospecteur, ce qui l'a intéressé, c'est la partie la plus rocheuse de l'île.
Il y a noté plusieurs signes indiquant un sous-sol richement minéralisé. Malgré l'absence d'outils perfectionnés, Thomas se croit assez d'initiative et de débrouillardise pour transformer le minerai en métaux utiles. Chacun va donc pouvoir se livrer à ses occupations favorites pour le bien de tous. Tous sont unanimes à louer la Providence du dénouement relativement heureux d'une grande tragédie.
3. Les véritables richesses
Et voilà nos hommes à l'ouvrage. Les maisons et des meubles sortent du travail du charpentier. Les premiers temps, on s'est contenté de nourriture primitive. Mais bientôt les champs produisent et le laboureur a des récoltes. A mesure que les saisons succèdent aux saisons, le patrimoine de l'Ile s'enrichit. Il s'enrichit, non pas d'or ou de papier gravé, mais des véritables richesses: des choses qui nourrissent, qui habillent, qui logent, qui répondent à des besoins.
La vie n'est pas toujours aussi douce qu'ils souhaiteraient. Il leur manque bien des choses auxquelles ils étaient habitués dans la civilisation. Mais leur sort pourrait être beaucoup plus triste. D'ailleurs, ils ont déjà connu des temps de crise au Canada. Ils se rappellent les privations subies, alors que des magasins étaient trop pleins à dix pas de leur porte. Au moins, dans l'Ile des Naufragés, personne ne les condamne à voir pourrir sous leurs yeux des choses dont ils ont besoin. Puis les taxes sont inconnues. Les ventes par le shérif ne sont pas à craindre. Si le travail est dur parfois, au moins on a le droit de jouir des fruits du travail. Somme toute, on exploite l'île en bénissant Dieu, espérant qu'un jour on pourra retrouver les parents et les amis, avec deux grands biens conservés: la vie et la santé.
4. Un inconvénient majeur
Nos hommes se réunissent souvent pour causer de leurs affaires.
Dans le système économique très simplifié qu'ils pratiquent, une chose les taquine de plus en plus: ils n'ont aucune espèce de monnaie. Le troc, l'échange direct de produits contre produits, a ses inconvénients. Les produits à échanger ne sont pas toujours en face l'un de l'autre en même temps. Ainsi, du bois livré au cultivateur en hiver ne pourra être remboursé en légumes que dans six mois. Parfois aussi, c'est un gros article livré d'un coup par un des hommes, et il voudrait en retour différentes petites choses produites par plusieurs des autres hommes, à des époques différentes.
Tout cela complique les affaires. S'il y avait de l'argent dans la circulation, chacun vendrait ses produits aux autres pour de l'argent. Avec l'argent reçu, il achèterait des autres les choses qu'il veut, quand il les veut et qu'elles sont là. Tous s'entendent pour reconnaître la commodité que serait un système d'argent.
Mais aucun d'eux ne sait comment en établir un. Ils ont appris à produire la vraie richesse, les choses. Mais ils ne savent pas faire les signes, l'argent. Ils ignorent comment l'argent commence, et comment le faire commencer quand il n'y en a pas et qu'on décide ensemble d'en avoir... Bien des hommes instruits seraient sans doute aussi embarrassés; tous nos gouvernements l'ont bien été pendant dix années avant la guerre. Seul, l'argent manquait au pays, et le gouvernement restait paralysé devant ce problème.
5. Arrivée d'un réfugié
Un soir que nos hommes, assis sur le rivage, ressassent ce problème pour la centième fois, ils voient soudain approcher une chaloupe avironnée par un seul homme. On s'empresse d'aider le nouveau naufragé. On lui offre les premiers soins et on cause. Il parle français, bien que les traits de son visage indiquent une autre origine.
On apprend que c'est un Européen échappé lui aussi à un naufrage et seul survivant. Son nom: Martin Golden.
Heureux d'avoir un compagnon de plus, nos cinq hommes l'accueillent avec chaleur et lui font visiter la colonie. -"Quoique perdus loin du reste du monde, lui disent-ils, nous ne sommes pas trop à plaindre. La terre rend bien; la forêt aussi. Une seule chose nous manque: nous n'avons pas de monnaie pour faciliter les échanges de nos produits." -"Bénissez le hasard qui m'amène ici! répond Martin.
L'argent n'a pas de mystère pour moi. Je suis un banquier, et je puis vous installer en peu de temps un système monétaire qui vous donnera satisfaction." Un banquier !... Un banquier !... Un ange venu tout droit du ciel n'aurait pas inspiré plus de révérence. N'est-on pas habitué, en pays civilisé, à s'incliner devant les banquiers, qui contrôlent les pulsations de la finance ?
6. Le dieu de la civilisation
-"Monsieur Martin, puisque vous êtes banquier, vous ne travaillerez pas dans l'île. Vous allez seulement vous occuper de notre argent. -"Je m'en acquitterai avec la satisfaction, comme tout banquier, de forger la prospérité commune. -"Monsieur Martin, on vous bâtira une demeure digne de vous. En attendant, peut-on vous installer dans l'édifice qui sert à nos réunions publiques ? -"Très bien, mes amis.
Mais commençons par décharger les effets de la chaloupe que j'ai pu sauver dans le naufrage: une petite presse, du papier et accessoires, et surtout un petit baril que vous traiterez avec grand soin." On décharge le tout. Le petit baril intrigue la curiosité de nos braves gens. -"Ce baril, déclare Martin, c'est un trésor sans pareil. Il est plein d'or !" Plein d'or !
Cinq âmes faillirent s'échapper de cinq corps. Le dieu de la civilisation entré dans l'Ile des Naufragés. Le dieu jaune, toujours caché, mais puissant, terrible, dont la présence, l'absence ou les moindres caprices peuvent décider de la vie de 100 nations ! -"De l'or ! Monsieur Martin, vrai grand banquier! Recevez nos hommages et nos serments de fidélité. -" De l'or pour tout un continent, mes amis. Mais ce n'est pas de l'or qui va circuler. Il faut cacher l'or: l'or est l'âme de tout argent sain. L'âme doit rester invisible. Je vous expliquerai tout cela en vous passant de l'argent."
7. Un enterrement sans témoin
Avant de se séparer pour la nuit, Martin leur pose une dernière question: -"Combien vous faudrait-il d'argent dans l'île pour commencer, pour que les échanges marchent bien ?" On se regarde. On consulte humblement Martin lui-même. Avec les suggestions du bienveillant banquier, on convient que $200 pour chacun paraissent suffisants pour commencer. Rendez-vous fixé pour le lendemain soir. Les hommes se retirent, échangent entre eux des réflexions émues, se couchent tard, ne s'endorment bien que vers le matin, après avoir longtemps rêvé d'or les yeux ouverts. Martin, lui, ne perd pas de temps. Il oublie sa fatigue pour ne penser qu'à son avenir de banquier.
A la faveur du petit jour, il creuse un trou, y roule son baril, le couvre de terre, le dissimule sous des touffes d'herbe soigneusement placées, y transplante même un petit arbuste pour cacher toute trace. Puis, il met en œuvre sa petite presse, pour imprimer mille billets d'un dollar.
En voyant les billets sortir, tout neufs, de sa presse, il songe en lui même: -"Comme ils sont faciles à faire, ces billets ! Ils tirent leur valeur des produits qu'ils vont servir à acheter. Sans produits, les billets ne vaudraient rien. Mes cinq naïfs de clients ne pensent pas à cela. Ils croient que c'est l'or qui garantit les piastres. Je les tiens par leur ignorance !" Le soir venu, les cinq arrivent en courant près de Martin.
8. A qui l'argent frais fait ?
Cinq piles de billets étaient là, sur la table. -"Avant de vous distribuer cet argent, dit le banquier, il faut s'entendre. "L'argent est basé sur l'or. L'or, placé dans la voûte de ma banque, est à moi. Donc, l'argent est à moi... Oh! Ne soyez pas tristes. Je vais vous prêter cet argent, et vous l'emploierez à votre gré. En attendant, je ne vous charge que l'intérêt. Vu que l'argent est rare dans l'Ile, puisqu'il n'y en a pas du tout, je crois être raisonnable en demandant un petit intérêt de 8 pour cent seulement. -"En effet, monsieur Martin, vous êtes très généreux. -"Un dernier point, mes amis. Les affaires sont les affaires, même entre grands amis. Avant de toucher son argent, chacun de vous va signer ce document: c'est l'engagement par chacun de rembourser capital et intérêts, sous peine de confiscation par moi de ses propriétés. Oh ! Une simple garantie. Je ne tiens pas du tout à jamais avoir vos propriétés, je me contente d'argent. Je suis sûr que vous garderez vos biens et que vous me rendrez l'argent. -"C'est plein de bons sens, monsieur Martin. Nous allons redoubler d'ardeur au travail et tout rembourser. -"C'est cela. Et revenez me voir chaque fois que vous avez des problèmes. Le banquier est le meilleur ami de tout le monde... Maintenant, voici à chacun ses deux cents dollars." Et nos cinq hommes s'en vont ravis, les piastres plein les mains et plein la tête.
9. Un problème d'arithmétique
L'argent de Martin a circulé dans l'Ile. Les échanges se sont multipliés en se simplifiant. Tout le monde se réjouit et salue Martin avec respect et gratitude. Cependant, le prospecteur, est inquiet. Ses produits sont encore sous terre. Il n'a plus que quelques piastres en poche. Comment rembourser le banquier à l'échéance qui vient? Après s'être longtemps creusé la tête devant son problème individuel, Thomas l'aborde socialement: "Considérant la population entière de l'île, songe-t-il, sommes nous capables de tenir nos engagements?
Martin a fait une somme totale de $1000. Il nous demande au total $1080. Quand même nous prendrions ensemble tout l'argent de l'île pour le lui porter, cela ferait 1000 pas 1080. Personne n'a fait les $80 de plus. Nous faisons des choses, pas des piastres. Martin pourra donc saisir toute l'île, parce que tous ensemble, nous ne pouvons rembourser capital et intérêts. "Si ceux qui sont capables remboursent pour eux-mêmes sans se soucier des autres, quelques-uns vont tomber tout de suite, quelques autres vont survivre. Mais le tour des autres viendra et le banquier saisira tout. Il vaut mieux s'unir tout de suite et régler cette affaire socialement." Thomas n'a pas de peine à convaincre les autres que Martin les a dupés. On s'entend pour un rendez-vous général chez le banquier.
10. Bienveillance du banquier
Martin devine leur état d'âme, mais fait bon visage. L'impulsif François présente le cas: -"Comment pouvons-nous vous apporter $1080 quand il n'y a que $1000 dans toute l'ile ? -"C'est l'intérêt, mes bons amis. Est-ce que votre production n'a pas augmenté ? -"Oui, mais l'argent, lui, n'a pas augmenté.
Or, c'est justement de l'argent que vous réclamez, et non pas des produits. Vous seul pouvez faire de l'argent. Or vous ne faites que $1000 et vous demandez $1080. C'est impossible! -"Attendez, mes amis. Les banquiers s'adaptent toujours aux conditions, pour le plus grand bien du public... Je ne vais vous demander que l'intérêt. Rien que $80. Vous continuerez de garder le capital. -"Vous nous remettez notre dette ? -"Non pas. Je le regrette, mais un banquier ne remet jamais une dette. Vous me devrez encore tout l'argent prêté. Mais vous ne me remettrez chaque année que l'intérêt, je ne vous presserai pas pour le remboursement du capital. Quelques-uns parmi vous peuvent devenir incapables de payer même leur intérêt, parce que l'argent va de l'un à l'autre. Mais organisez-vous en nation, et convenez d'un système de collection. On appelle cela taxé. Vous taxerez davantage ceux qui auront plus d'argent, les autres moins. Pourvu que vous m'apportiez collectivement le total de l'intérêt, je serai satisfait et votre nation se portera bien." Nos hommes se retirent, mi calmés, mi-pensifs.
11. L'extase de Martin Golden
Martin est seule. Il se recueille. Il conclut: "Mon affaire est bonne. Bons travailleurs, ces hommes, mais ignorants. Leur ignorance et leur crédulité font ma force. Ils voulaient de l'argent, je leur ai passé des chaînes. Ils m'ont couvert de fleurs pendant que je les roulais. "Oh! Grand Rothschild, je sens ton génie de banquier s'emparer de mon être. Tu l'as bien dit, illustre maître: "Qu'on m'accorde le contrôle de la monnaie d'une nation et je me fiche de qui fait ses lois". Je suis le maître de l'Ile des Naufragés, parce que je contrôle son système d'argent. Je pourrais contrôler un univers. Ce que je fais ici, moi, Martin Golden, je puis le faire dans le monde entier.
Que je sorte un jour de cet îlot: je sais comment gouverner le monde sans tenir de sceptre. "Ma délectation souveraine serait de verser ma philosophie dans des têtes de chrétiens: banquiers, chefs d'industrie, politiciens, sauveurs du peuple, professeurs, journalistes, ils seraient mes valets. La masse des chrétiens s'endort mieux dans son esclavage, quand les contremaîtres d'esclaves sont eux-mêmes des chrétiens." Et toute la structure du système bancaire Rothschildien se dresse dans l'esprit ravi de Martin.
12. Crise de vie chère
Cependant, la situation empire dans l'Ile des Naufragés. La productivité a beau augmenter, les échanges ralentissent. Martin pompe régulièrement ses intérêts. I1 faut songer à mettre de l'argent de côté pour lui. L'argent colle, il circule mal. Ceux qui paient le plus de taxes crient contre les autres et haussent leurs prix pour trouver compensation. Les plus pauvres, qui ne paient pas de taxes, crient contre la cherté de la vie et achètent moins. Le moral baisse, la joie de vivre s'en va. On n'a plus de cœur à l'ouvrage. A quoi bon? Les produits se vendent mal; et quand ils se vendent, il faut donner des taxes pour Martin. On se prive. C'est la crise. Et chacun accuse son voisin de manquer de vertu et d'être la cause de la vie chère.
Un jour, Henri, réfléchissant au milieu de ses vergers, conclut que le "progrès" apporté par le système monétaire du banquier a tout gâté dans l'Ile. Assurément, les cinq hommes ont leurs défauts; mais le système de Martin nourrit tout ce qu'il y a de plus mauvais dans la nature humaine. Henri décide de convaincre et rallier ses compagnons.
Il commence par Jacques. C'est vite fait: "Eh ! dit Jacques, je ne suis pas savant, moi; mais il y a longtemps que je le sens: le système de ce banquier-là est plus pourri que le fumier de mon étable du printemps dernier !" Tous sont gagnés l'un après l'autre, et une nouvelle entrevue avec Martin est décidée.
13. Chez le forgeur de chaînes
Ce fut une tempête chez le banquier: -"L'argent est rare dans l'île, monsieur, parce que vous nous l'ôtez. On vous paie, on vous paie, et on vous doit encore autant qu'au commencement. On travaille, on fait de plus belles terres, et nous voilà plus mal pris qu'avant votre arrivée. Dette! Dette! Dette par-dessus la tête ! -"Allons, mes amis, raisonnons un peu.
Si vos terres sont plus belles, c'est grâce à moi. Un bon système bancaire est le plus bel actif d'un pays. Mais pour en profiter, il faut garder avant tout la confiance dans le banquier. Venez à moi comme à un père... Vous voulez d'autre argent ? Très bien. Mon baril d'or vaut bien des fois mille dollars... Tenez, je vais hypothéquer vos nouvelles propriétés et vous prêter un autre mille dollars tout de suite. -"Deux fois plus de dette ? Deux fois plus d'intérêt à payer tous les ans, sans jamais finir? -"Oui, mais je vous en prêterai encore, tant que vous augmenterez votre richesse foncière; et vous ne me rendrez jamais que l'intérêt. Vous empilerez les emprunts; vous appellerez cela dette consolidée. Dette qui pourra grossir d'année en année. Mais votre revenu aussi. Grâce à mes prêts, vous développerez votre pays. -"Alors, plus notre travail fera l'île produire, plus notre dette totale augmentera ? -"Comme dans tous les pays civilisés. La dette publique est un baromètre de la prospérité."
14. Le loup mange les agneaux
-"C'est cela que vous appelez monnaie saine, monsieur Martin ? Une dette nationale devenue nécessaire et impayable, ce n'est pas sain, c'est malsain. -"Messieurs, toute monnaie saine doit être basée sur l'or et sortir de la banque à l'état de dette. La dette nationale est une bonne chose: elle place; les gouvernements sous la sagesse incarnée dans les banquiers. A titre de banquier, je suis un flambeau de civilisation dans votre île. -"Monsieur Martin, nous ne sommes que des ignorants, mais nous ne voulons point de cette civilisation-là ici.
Nous n'emprunterons plus un seul sou de vous. Monnaie saine ou pas saine, nous ne voulons plus faire affaire avec vous. -"Je regrette cette décision maladroite, messieurs. Mais si vous rompez avec moi, j'ai vos signatures. Remboursez-moi immédiatement tout, capital et intérêts. -"Mais c'est impossible, monsieur. Quand même on vous donnerait tout l'argent de l'île, on ne serait pas quitte. -"Je n'y puis rien. Avez-vous signé, oui ou non?
Oui ? Eh bien, en vertu de la sainteté des contrats, je saisis toutes vos propriété gagées, tel que convenu entre nous, au temps où vous étiez si contents de m'avoir. Vous ne voulez pas servir de bon gré la puissance suprême de l'argent, vous la servirez de force. Vous continuerez à exploiter l'Ile, mais pour moi et à mes conditions. Allez. Je vous passerai mes ordres demain.
15. Le contrôle des journaux
Comme Rothschild, Martin sait que celui qui contrôle le système d'argent d'une nation contrôle cette nation. Mais il sait aussi que, pour maintenir ce contrôle, il faut entretenir le peuple dans l'ignorance et l'amuser avec autre chose. Martin a remarqué que, sur les cinq insulaires, deux sont conservateurs et trois sont libéraux.
Cela paraît dans les conversations des cinq, le soir, surtout depuis qu'ils sont devenus ses esclaves. On se chicane entre bleus et rouges.
De temps en temps, Henri, moins partisan, suggère une force dans le peuple pour faire pression sur les gouvernants... Force dangereuse pour toute dictature.
Martin va donc s'appliquer à envenimer leurs discordes politiques le plus possible. Il se sert de sa petite presse et fait paraître deux feuilles hebdomadaires: "Le Soleil", pour les rouges; "L'Etoile", pour les bleus. "Le Soleil" dit en substance: Si vous n'êtes plus les maîtres chez vous, c'est à cause de ces arriérés de bleus, toujours collés aux gros intérêts.
"L'Etoile" dit en substance: Votre dette nationale est l'œuvre des maudits: rouges, toujours prêts aux aventures politiques. Et nos deux groupements politiques se chamaillent de plus belle, oubliant le véritable forgeur de chaînes, le contrôleur de l'argent, Martin.
16. Une épave précieuse
Un jour, Thomas, le prospecteur, découvre, échouée au fond d'une anse, au bout de l'ile et voilée par de hautes herbes, une chaloupe de sauvetage, sans rame, sans autre trace de service qu'une caisse assez bien conservée. Il ouvre la caisse: outre du linge et quelques menus effets, son attention s'arrête sur un livre-album en assez bon ordre, intitulé: Première année de Vers Demain.
Curieux, notre homme s'assied et ouvre ce volume. Il lit. Il dévore. Il s'illumine: "Mais, s'écrie-t-il, voilà ce qu'on aurait dû savoir depuis longtemps. "L'argent ne tire nullement sa valeur de l'or, mais des produits que l'argent achète. "L'argent peut être une simple comptabilité, les crédits passant d'un compte à l'autre selon les achats et les ventes. Le total de l'argent en rapport avec le total de la production. "A toute augmentation de production, doit correspondre une augmentation équivalente d'argent... Jamais d'intérêt à payer sur l'argent naissant... Le progrès représenté, non pas par une dette publique, mais par un dividende égal à chacun... Les prix, ajustés au pouvoir d'achat par un coefficient des prix. Le Crédit Social..."
Thomas n'y tient plus. Il se lève et court, avec son livre, faire part de sa splendide découverte à ses quatre compagnons. Le système du crédit social est dépassé avec l’informatique qui a permit les économies collectives de Jumelage Marchand Client Ltée en passant d’une culture du crédit à une culture de l’épargne
17. L'argent, simple comptabilité
Et Thomas s'installe professeur: "Voici, dit-il, ce qu'on aurait pu faire, sans le banquier, sans or, sans signer aucune dette. "J'ouvre un compte au nom de chacun de vous. A droite, les crédits, ce qui ajoute au compte; à gauche, les débits, ce qui le diminue. "On voulait chacun $200 pour commencer. D'un commun accord, décidons d'écrire $200 au crédit de chacun. Chacun a tout de suite $200. "François achète des produits de Paul, pour $10. Je retranche 10 à François, il lui reste 190. J'ajoute 10 à Paul, il a maintenant 210. "Jacques achète de Paul pour $8. Je retranche 8 à Jacques, il garde 192. Paul, lui, monte à 218.
"Paul achète du bois de François, pour $15. Je retranche 15 à Paul, il garde 203; j'ajoute 15 à François, il remonte à 205.
"Et ainsi de suite; d'un compte à l'autre, tout comme des piastres en papier vont d'une poche à l'autre. "Si l'un de nous a besoin d'argent pour augmenter sa production, on lui ouvre le crédit nécessaire, sans intérêt.
Il rembourse le crédit une fois la production vendue. Même chose pour les travaux publics. "On augmente aussi, périodiquement, les comptes de chacun d'une somme additionnelle, sans rien ôter à personne, en correspondance au progrès social. C'est le dividende national L'argent est ainsi un instrument de service, ici ces comme JMC argent créé a partir de la consommation de 1c à 10$ maximum.
18. Désespoir du banquier
Tous ont compris. La petite nation est devenue créditiste. Le lendemain, le banquier Martin reçoit une lettre signée des cinq: "Monsieur, vous nous avez endettés et exploités sans aucune nécessité. Nous n'avons plus besoin de vous pour régir notre système d'argent. Nous aurons désormais tout l'argent qu'il nous faut, sans or, sans dette, sans voleur.
Nous établissons immédiatement dans l'Ile des Naufragés le système du Crédit Social. Le dividende national remplacera la dette nationale.
"Si vous tenez à votre remboursement, nous pouvons vous remettre tout l'argent que vous avez fait pour nous, pas plus. Vous ne pouvez réclamer ce que vous n'avez pas fait. Martin est au désespoir. C'est son empire qui s'écroule. Les cinq devenus créditistes. Aujourd’hui avec l’informatique, devenez JMC, JMC se sert de l’argent des arnaqueurs pour se développer à coût nul, plus de mystère d'argent ou de crédit pour eux. "Que faire? Leur demander pardon, devenir comme l'un d'eux ? Moi, banquier, faire cela ?... Non. Je vais plutôt essayer de me passer d'eux et de vivre à l'écart.
19. Supercherie mise à jour
Pour se protéger contre toute réclamation future possible, nos hommes ont décidé de faire signer au banquier un document attestant qu'il possède encore tout ce qu'il avait en venant dans l'île. D'où l'inventaire général: la chaloupe, la petite presse et... le fameux baril d'or.
Il a fallu que Martin indique l'endroit, et l'on déterre le baril. Nos hommes le sortent du trou avec beaucoup moins de respect cette fois. Le Crédit Social leur a appris à mépriser le fétiche or. Le prospecteur, en soulevant le baril, trouve que pour de l'or, le baril ne pèse pas beaucoup: "Je doute fort que ce baril soit plein d'or", dit-il.
L'impétueux François n'hésite pas plus longtemps. Un coup de hache et le baril étale son contenu: d'or, pas une once! Des roches - rien que de vulgaires roches sans valeur!... Nos hommes n'en reviennent pas: -"Dire qu'il nous a mystifiés à ce point-là, le misérable! A-t-il fallu être gogos, aussi, pour tomber en extase devant le seul mot OR! -"Dire que nous lui avons gagé toutes nos propriétés pour des bouts de papier basés sur quatre pelletées de roches! Voleur doublé de menteur! -"Dire que nous nous sommes boudés et haïs les uns les autres pendant des mois et des mois pour une supercherie pareille! Le démon!" A peine François avait-il levé sa hache que le banquier partait à toutes jambes vers la forêt.
FIN
COMMENTAIRES DE NENKI et Gilles Gagnon à la fin du document:
***Faites circuler au grand large... pour que tous sachent que la plus grande arnaque de l'histoire de l'humanité vient d'être mise à jour: celle que les banques mondiales ont perpétrée contre le monde entier depuis des siècles et des siècles.
FINI LES PRÊTS USURIERS ! CRÉONS LA BANQUE DU PEUPLE !
BEAUCOUP DE BONNES GENS, TRÈS ÉCLAIRÉS, DANS LA HAUTE FINANCE, L'ÉCONOMIE NATIONALE ET LA FISCALITÉ, TELS LOUIS EVANS ET SON CRÉDIT SOCIAL, LYNDEN LAROUCHE ET L'ÉRADICATION DE LA DETTE NATIONALE ET REMPLACER LA RÉSERVE FÉDÉRALE AMÉRICAINE PAR UNE BANQUE POPULAIRE, COMMME LES DUBOIN, EN FRANCE AVEC LEUR ÉCONOMIE DISTRIBUTIVE, ET J'EN PASSE ET DES MEILLEURS... SI NOUS NOUS Y METTONS TOUS ENSENMBLES, CE SERA UN JEU D'ENFANT ET UNE CÉLÉBRATION MONDIALE DE LIBÉRATION DE LA DETTE MONDIALE DE TOUS LES PAYS !!! MAIS AVANT TOUT IL FAUT RECONNAÎTRE QUE NOUS NOUS SOMMES FAIT AVOIR EN SE FAISANT DÉMUNIR DU DROIT DE CRÉER DE L'ARGENT COMME LES BANQUES SE LE SONT APPROPRIÉ À NOTRE INSU. ET DE LE DÉNONCER PETIT À PETIT, BIEN SÛR, JUSQU'À CE QUE CELA FASSE BOULE DE NEIGE
(EXCUSEZ-MOI POUR LES PAYS CHAUD :-) il FAUT RÉALISER QUE CE SONT NOUS, LA MAIN D'OEUVRE AVEC NOS AVOIRS (MAISONS, OUTILS, MATÉRIAUX, LINGES ET ACCESSOIRES) QUI POSSÈDONS ET "SOMMES" LES VRAIES VALEURS DE L'ÉCONOMIE DE CHAQUE PAYS. LE RESTE EST DU BIDON... DU VENT, CHÈREMENT PAYÉ PAR LE SANG DES NATIONS QUI ONT ESSAYÉ DE SE LIBÉRER DE LA MISÈRE, DE L'ESCLAVAGE ET DU MENSONGE DEPUIS DES MILLÉNIUMS... POUR SERVIR L'ÉLITE !
UNE BANQUE SANS INTÉRÊT! QUELQUES FRAIS ADMINISTRATIFS C'EST TOUT ! CHAQUE FOIS QUE VOUS VOUS SERVEZ DE VOTRE CARTE POUR ACHETER ON VOUS PÉNALISE ET ON PÉNALISE LE MAGASIN QUI L'ACCEPTE POUR SE FAIRE PAYER, ET CE TOUJOURS EN POUR-SANG-TAGE %. 2 FRAIS SUPPLÉMENTAIRES INUTILES POUR UNE SEULE TRANSACTION QUI N'EXISTE PAS SI VOUS PAYEZ COMPTANT. CHAQUE FOIS QUE VOUS DÉPLACEZ DANS UNE BANQUES, IL Y A DES FRAIS.
MÊME À LA SALLE DE BAIN ? NON, MAIS IL FAUT ÊTRE MEMBRE DE CETTE BANQUE ET PAYER SA COTISATION MENSUELLE.
IL N'Y A PAS D'AUTRE SOLUTION EN CE QUI CONCERNE L'ÉTAT ÉCONOMIQUE ACTUEL DE CHAQUE PAYS DE CETTE PLANÈTE ! C-À-D DÉNONCER L'ILLÉGALITÉ DE LA DETTE NATIONALE DE CHAQUE PAYS VIS-À-VIS SA 'SOIT-DISANTE' BANQUE NATIONALE, QUI EST UNE FRAUDE ET UN CRIME IGNOBLE CONTRE LE BIEN-ÊTRE SOCIAL DE CHAQUE COMMUNAUTÉ HUMAINE DE LA TERE AVANTS QU'IL NE SOIT TROP TARD CAR...
PENDANT CE TEMPS TOUS NOS AVOIRS VONT À REPAYER LES INTÉRÊTS FICTIFS D'UNE DETTE FICTIVE, PROVENANT D'ARGENT FICTIF, QUI NOUS APPARTENAIT ET QU'ON A REPAYÉ AVEC LES INTÉRÊTS, JAMAIS CRÉÉS, NOUS ONT ÉTÉ INFLIGÉS PAR LA TROMPERIE ET CE, SANS NOS SUS ET CONSENTEMENTS.
VOILÀ LE VRAI CITOYEN ! JUSTE ET HUMAIN !
LA NOUVELLE CIVILISATION NE RECONNAIT PLUS LA DETTE FICTIVE DES BANQUES, MONDIALEMENT. ON REPART À ZÉRO. ON MET TOUT LE GÉNIE HUMAIN DES UNIVERSITÉS, INSTITUTS, ET AL. DE LA PLANÈTE ENTIÈRE, S'IL LE FAUT, SUR CE COMPTE À RÉGLER AVEC LUCIFER ET SON MINISTRE MAMMON. LES ARNAQUEURS SONT PRIS ET DEVRONT REMBOURSER LES EXCÉDANTS PAYÉS ET IL Y EN A BEAUCOUP, CROYEZ-MOI :-) ! POUR EUX, LEURS JOURS SONT COMPTÉS ! ET SI NOUS N'AGISSONS PAS, CE SERONT LES NÔTRES !
IL EST IMPÉRATIF QU'ON SE RÉVEILLE ET QU'ON CRIE:
FINI !
Réalisez un fond d’aide aux organismes
(Enregistré vous un nom)
Marche à suivre :
1) Pour votre crédibilité : Faites vous un CV récent avec un certificat de bonne conduite que vous pouvez obtenir gratuitement au poste de police le plus prés de chez-vous.
2) Rencontrez des organismes que vous voulez aider et leur demander une lettre d’autorisation afin d’amasser des fonds pour eux.
3) Préparer-vous un prospectus en incluant les noms des organismes pour lequel vous sollicitez des dons en expliquant la façon que vous distribuer vos fonds, c’est tout, facile tout peut se faire de chez-vous.
4) Invitez les plus ou moins grandes entreprises à vous faire des dons en échange de publicités offertes directement aux consommateurs.
Les avantages de votre organisme d’aide :
1) Indiquer que votre organisme est autonome et que vous ne chargez pas de frais d’administration et que vos dons reçus sont toujours distribués à 100%.
2) Indiquer aussi que tous vos dons reçus sont divisés par 10$ et que le logo de vos donateurs est Incéré sur chacun de ces bons et que ces bons ont une valeur nominale de 210$, c'est-à-dire que chaque bon est ajouté en croissance dans le programme www.j-m-c.ca jusqu'à leur qualification de 210$ et les personnes possédant ces bons pourront recevoir par la suite en argent dépensable chez les marchands participants pour chacun des bons reçus. Ils recevront des 15$, 30$, 60$, plus 2 nouveaux bons prépayés et continueront a recevoir des 15$, 30$, 60$ durant 30 ans à partir de chacun des bons reçus, une publicité pour vos donateurs qu’ils ne pourront refuser du au retour en visibilité pour leur commerce.
3) Tout l’argent reçu en don est remis à 100% en bons d’économies directement aux bénéficiaires et une partie à l’organisme que vous voulez aider, selon votre entente, Ex : Si vous avez 1000 bons à leur donner en don, vous pouvez leur dire d’enregistrer 100 bons au nom de leur organisme pour leur administration et les autres devront être remis directement a leurs bénéficiaires.
4) A tous les 21 bons achetés chez JMC votre organisme reçoit comme les marchands un bon au nom de votre organisme de cette façon, quand votre organisme aura 1000 bons de qualifiés votre organisme recevra comme les autres, des retours de 1000 fois 15$ 1000 fois 30$ et 1000 fois 60$ plus 2000 nouveaux bons inscrits au nom de votre organisme réalisant la croissance de tous,
Les avantages de vos donateurs : Notre organisme est autonome, travaille avec des bénévoles et ne prend jamais de frais de servisses pour s’administré. Vos dons vont à 80% directement aux bénéficières et 20% à l’organisme choisi.
1) Le logo de toutes vos entreprises est inscrit sur chacun des bons les publicisant sans frais. Ces bons sont distribués sans coût par les organismes qui reçoivent leurs dons.
2) Vous pouvez leur offrir une inscription publicitaire sans facturation au site www.j-m-c.ca qui leur donnera droit de recevoir des 15$, 30$, 60$ en retour économisé comme les clients qui accumulent des bons gratuitement en achetant chez les marchands participants. Mentionnez qu’avec ces retours en participants, ils pourront vous remettre par la suite une partie de ces retours économisés en dons réalisant une roue économique parfaite.
Avantage pour vous : Recevrez 23.75% de commission de JMC pour chacun des dons passés par JMC et en plus votre organisme sera remboursé a 100% de tous ces achats de dons a cause de la règle de 21, JMC.
FOND ENFANT-AINÉE
Feuillet
Feuillet-promotionnel : Fond Enfant-Ainée est un fond d’aide aux organismes
1. Tous nos bénévoles ont un certificat de bonne conduite que l’on peut obtenir au poste de police le plus prés de chez-vous.
2. Rencontrons des organismes que nous voulons aider et leur demandons une lettre d’autorisation afin d’amasser des fonds pour eux.
3. Innovations stratégique : Maximisons vos dons en distribuant vos dons directement aux bénéficières afin d’augmenter votre visibilité.
Les avantages de notre fond d’aide : Vos dons vous publicisent
1. Notre organisme est autonome et ne charge aucun frais d’administration, les dons reçus sont toujours distribués à 100%.
2. Tous les dons reçus sont divisés par 10$ et le logo de nos donateurs est Incéré sur chacun des bons. Ces bons étants divisés par 10$ ont une valeur nominale de 210$, c'est-à-dire que chaque bon est ajouté en croissance de 21 fois 10$ dans le programme www.j-m-c.ca jusqu'à leur valeur de qualification de 210$.
3. Les bénéficières possédant ces bons, recevront par la suite du nouvel argent dépensable seulement chez les marchands participants pour chacun des bons reçus.
4. Tous, recevrons ces retours économisés par tranches de 15$, 30$, 60$, plus 2 nouveaux bons prépayés afin d’accélérer la croissance des portefeuilles et continueront par la suite à recevoir des 15$, 30$, 60$ durant 30 ans à partir de chacun des bons reçus.
5. Une publicité continue pour les donateurs, une visibilité perpétuelle pour les commerces.
6. Vos dons sont répartis entre plusieurs organismes.
7. Vous pourrez choisir vos organismes préférés par préférence.
8. Les économies s’accumulent à partir de la consommation chez les marchands participants d’une cenne à 10$ maximum, que les marchands vous offre dépendant du montant de vos achats. Chacun des 10$ économisé crée une nouvelle inscription au logiciel JMC. Vos 10$ économisé sont ajouté en croissance jusqu'à 210$, ce qui permet de vous bâtir un bon portefeuille à partir de votre consommation. Que vous soyez Marchand ou Client, il est facile d’économiser 21,000$ par année en argent nominale qui deviendra réel, valorisant leur ‘’Napkin Money’’.
Voici quelques organismes que nous voulons représentés
FONDATIONS
» Fondation du Centre hospitalier de Val-d'Or, Rouyn-Noranda, Amos, etc.
» Fondation Louis Gonzague Bolduc
» Fondation Rousseau-Dargis de Malartic
» La Fondation du Foyer de Val-d'Or Inc.
» Etc.
» Etc.
» Etc.
Jumelage Marchand Client Ltée est un outil de développement! Industries, emploies, etc. La première priorité en économie est la valeur des portefeuilles de vos contribuables qui contribue à votre paye. Servez-vous du seul outil non comparable de développement local. Invitez vos marchands à se publiciser en économisant avec leurs clients, une publicité beaucoup moins dispendieuse et une fidélisation clientèle plus rentable. JMC est un regroupement coopératif collectif pour luter contre la récession. Vous pourrez profiter de rabais sur la nourriture, les vêtements, l’essence, etc. Ce mouvement coopératif regroupe plusieurs clients et plusieurs commerçants. Être participant JMC, c’est comme être membre d'une Coopérative qui à plusieurs succursales ! Entente pour une conférence sur demande.
N'est-il pas temps de s'unir pour s’en sortir ?
Les économies s’accumulent à partir de la consommation chez les marchands participants d’une cenne à 10$ maximum que les marchands vous offre dépendant du montant de vos achats et ce maximum 10$ devient votre nouvelle inscription introduite au logiciel JMC, 10$ croissant à votre nom jusqu'à 210$. Ce qui permet de vous bâtir un bon portefeuille, avec chacun des 10$ économisé à partir de votre consommation, que vous soyez moins ou plus nantis. Voyez pourquoi le système monétaire saute toutes les 7, 15 ans.
Avantages d’économiser collectivement : Être unis aux autres, nos économies jumelées! Jamais, un marchand ne sera autant publicisé qu’avec JMC ? JMC crée du nouvel argent à partir de la consommation au lieu de dettes ce qui est de beaucoup plus logique. Nos droits d’auteur est 480166
1. Annoncez vos spéciaux sur le site www.j-m-c.ca sans facturation. Habituez vos clients tranquillement en transformant une partie de vos escomptes en profits.
2. Suggestion, achetez 21 bons d’économies à la fois pour 210$ et recevez en un qui a une valeur nominale de 210$ votre coût vous reviendra a zéro. 10$ vous donne 1 ou 20 bons.
3. Vos coûts de publicité deviendront tellement minimes que nous pouvons affirmer que vous en recevrez plus en services de ce que vous payez.
4. Vos clients sont fidélisés avec des bons d’économies style les piastres Canadian Tire.
5. Vos clients enregistrent leurs bons au site JMC et voient votre nom des milliers de fois.
6. Comme Canadian Tire, votre nom et votre logo de marchand seront inscrits sur chacun des bons offerts, ce stratège fait que tous vos clients se promèneront avec votre logo, votre nom, votre adresse dans leurs poches.
7. Vos clients vous publicisent sans coût et voient encore votre nom inscrit à la suite du numéro de chacun des bons inscrits au site JMC. Vous, vous les procurez en vous inscrivant comme marchands ou comme les clients au site www.j-m-c.ca.
8. Vos chiffres d’affaire exploseront. Vos clients voudront toujours savoir combien de nouveaux bons à accumuler avant d’avoir un dépôt. Donc, vos clients visiteront le site JMC à tout moment et verrons encore votre nom, ils pourront savoir comme vous, exactement le moment ou vous recevrez un dépôt dans votre carte de crédit prépayé. Ça c’est de la publicité agrandie et continuelle pour le même prix, du jamais vu une visibilité progressive comme celle là et sans coût.
9. Vous n’aurez plus à vous servir de vos nouveaux profits pour vous publicisez.
10. Il faut réaliser un cercle parfait qui est nécessaire à la croissance des portefeuilles de tous les inscrits. Nous devons éliminer le binaire de notre logiciel de gestion. Pour ce faire, nous réinscrivons prépayés les retours de 30$ + réinscription et 60$ + réinscription, c’est à dire 2 fois afin d’éliminer le binaire. Il fallait y penser et ce stratège réalise la croissance des portefeuilles de tous automatiquement, à partir d’économies à la consommation.
11.
Vous démarrer avec peu d’argent et cet argent vous revient en économie. Merci d’agir tout de suite, Inscrivez-vous au site JMC sans facturation. Un E-commerce est à votre service. Ouvrez-vous un compte PayPal et vous pourrez-y vendre vos produits ou seulement les annoncer.
Participez au programme et controns ensemble la pauvreté, JMC est programmé pour le réussir! Magasinez localement !!! Info : 1-888-414-6093.
Je vous invite de nouveau à visionner cette vidéo en 2 parties (à peine 15 mn. chaque) sur les pourquoi de la grande crise financière que nous connaissons actuellement. Il y a également d'autres bons reportages sur le Web qui donnent tout autant de bonnes informations.
Je vous suggère de les télécharger car il se pourrait bien qu'ils disparaissent de You tube à un moment donné. Ainsi, ils pourront être remis sur d'autres sites. C'est sur le Web que nous sommes les mieux informés.
Pourquoi un "Occupy Wall Street" parti 1 de 2
http://www.youtube.com/watch?v=WJhgojiGKYY
Pourquoi un "Occupy Wall Street" parti 2 de 2
http://www.youtube.com/watch?v=IUoP3djUGOU&feature=related
Le but de ce programme est d’augmenter la masse monétaire des clients et des marchands.
Un ne va pas sans l’autre.
819-825-9401, Cell- 764-0265
Jumelage Marchand Client Ltée
Programme d’économie collective JMC
Gilles Gagnon 635A, Ave Centrale, Val D’or, Ca, QC, J9P 1P9
Vendez vos produits gratuitement à notre site www.j-m-c.ca jumelage-marchand-client@tlb.sympatico.ca
Service aux marchands Clients
Un marchand peut vendre ses produits à notre site www.j-m-c.ca sans facturation et économiser avec ses clients. Nos représentants vous montreront comment ajouter et retirer vos produits vendus. Il est essentiel d’avoir un E-mail et de vous ouvrir un compte PayPal. Promotion d’ouverture: tout est sans facturation. L’inscription d’accès 67.73$, taxes incluses, est prise après gestion à même les retours économisés.
jumelage-marchand-client@tlb.sympatico.ca
No du bon : BON D’ÉCONOMIE JMC
‘’Inscérez votre logo et votre nom de marchand’’
’’Jumelage Marchand Client Ltée’’
Adresse :
Téléphone : Courriel :
Ce bon à une valeur nominale client de $10.50
Ajoutez ce bon d’économie en croissance à votre portefeuille d’économie marchand au site www.j-m-c.ca
(Coût confidentiel Marchand 50c) Code bar No du bon : BON D’ÉCONOMIE JMC
‘’ Inscérez votre logo et votre nom de marchand’’
’’Jumelage Marchand Client Ltée’’
Adresse :
Téléphone : Courriel :
Ce bon à une valeur nominale de $210.00
Ajoutez ce bon d’économie en croissance à votre portefeuille d’économie marchand au site www.j-m-c.ca
(Coût confidentiel Marchand 10$) Code bar
Il y a 450 000 entreprises au Québec, 150 000 sont propriétés ou dirigées par des femmes. De plus, 200 000 femmes sont travailleurs autonomes, phénomène en croissance rapide d'ailleurs. Bref, les Québécoises deviennent de plus en plus entrepreneures. Il y a 25 ans, elles représentaient 10 % de la communauté d'affaires. Elles représentent maintenant environ 35 %, soit un tiers, ce qui est une belle réussite en soi. Nous visons à court thermes 10% de ces commerces, qui pourrait offrir un bon par jour ce qui nous donnerait 45,000.00$ par jour en économies collective à répartir entre les clients des marchands et eux.
Devenez-Amis (es). Aider à faire subventionner le démarrage de JMC. Une proposition afin de stimuler l’économie et ce donner les moyens de payer au lieu de toujours les laisser couper nos services. Ce programme donne de la noblesse à votre capitaliste sauté par les 1% qui ont toutes les richesses du monde. La dette canadienne et des provinces ne peuvent pas être payées sans économies à partir de la consommation, tel que proposer par JMC www.j-m-c.ca
Vous arrêterez les manifestations des indignés contre le capitaliste sauté qui est arnaqué depuis 1860 environ. Ces voleurs de peuples arnaqueurs du temps ont détruit le cercle économique monétaire, Banque charte versus Banque du Canada et autres. Vous rendez-vous compte, que cela ne peut fonctionner avec 99% de pauvres qui ne peuvent se payer aucun service décent.
Écouté la vidéo à la fin et agissez avant que vos proches se fassent tuer
Nous entendons toujours la même casette, et les mêmes aberrations économiques de non résultat.
Inégalité sociale chronique : JMC Nous Unis collectivement comparer aux lobbys qui nous endette jusqu’au coup et diminue tous nos services et laisse monter les prix, en un mot (dette, déficit, dépense, augmentation de prix).
L’horreur économique : Le néolibéralisme. Productivité, profit, concurrence, retrait de l’état, déficit zéro, libre-échange, dictature du marché : telle est leur nouvelle religion.
Raison de vous inscrire à JMC www.j-m-c.ca c’est pressant. Fonctionnement du système monétaire arnaqué : Canadien US Etc. Prenez connaissance de l’arnaque monétaire, lisez son fonctionnement ? Explication : Cinq personnes naufragées sur une ile déserte, il arrive un nouveau naufragé banquier qui leur installe un système bancaire d’échange monétaire entre eux, comme celui que nous avons présentement. Tous content, il leur imprime 200$ chacun (1000$) de billet remboursable dans un an et leur charge 8% 80$ pour son travail 1080$. Le banquier pas fou il leur fait tous signé une reconnaissance de dette à partir de leurs biens comme nos banques le font. Tous ravis, ils signent. Un an passe et le banquier veux son argent 1080$ ou les biens qu’il a pris en garanti. Comme le 80$ n’existe pas il leur demande de payer juste les intérêts. SVP : Compté, même s’ils se jumelaient tous ensemble ils ne peuvent payer et en payant juste les intérêts ils se vident de tous leurs économies comme les indignés s’en sont aperçus, ils n’auront jamais assez d’argent pour payer il manquera toujours le 80$. JMC renverse cette arnaque en réalisant un cercle économique parfait. Regardez cette vidéo…
http://www.youtube.com/watch?v=pSD7rDdbgA4&feature=share
Résumé de ce cercle économique et sa présentation! Faite des dons en travail positif afin de promouvoir JMC et Font Enfant Ainée(FEA) qui crée une économie locale toujours en croissance en collaboration avec les marchands locaux et sans coût pour eux. Rejoignez Fond Enfant Ainée et www.j-m-c.ca, 100% des économies reviennent toujours a êtres dépensées chez les marchands participants.
(Un enluminé d’emploie Québec Francis Auger de Val D’or dénigre JMC et ne veux pas comprendre la différence entre un programme collectif et coopératif et des programmes pyramidaux. Il nuit effrontément à notre démarrage en comparent notre programme collectif a un programme pyramidale qui profite toujours a un premier seulement au lieu de tous. JMC n’a aucun rapport avec la loi 55 et 55.1 étant collectif et coopératif)
Le but ultime JMC est de réaliser de la croissance économique perpétuelle à partir de la consommation, en invitant les détaillants à économiser avec leurs clients. JMC collabore avec Fond Enfant Ainée qui amasse des fonds pour nos organismes locaux en difficulté et l’argent retournent à 100% chez les marchands locaux participants.
Plus d’infos: Suggestion
Actionner un démarrage Fond Enfant Ainée et administré une roue de fortune, Installez-vous dans les marchés au-puces, grand magasin. Profitez de ce nouveau concept d’économies collectives qui nous donnera une croissance indéfinie dans ce monde fini.
Bénévole d’organisme, afin d’aider votre collectivité, gardé 40% pour vos dépenses et le 60% ira aux gagnants. 1-888-414-6093 jmc50@tlb.sympatico.ca NEQ FEA : 224-528-8685
_________________________________________________
Les exploiteurs de peuple veulent se faire remboursés les nouvelles piastres créées. Mentionné à RDI. TV
Abrégé afin de faire comprendre les économies collectives (Consommation). Le marchand vous donne des bons a partir de vos achats, vous les ajoutés dans votre compte JMC et quand vous en avez accumulé pour 210$ vous recevrez une cartes de crédit prépayer avec de l’argent dépensable chez vos marchands locaux participants. Le but est de ce donner à tous les moyens de payer et de ce bâtir des portefeuilles d'économies et ce même pour les BS.
_____________________________________________________________________________________
Info supplémentaire, il y a des complices : Pas vous j’espère.
Rejoignez Fond Enfant Ainée : Pourquoi laissez couper vos services par des têtes ignorante qui ne s’informent pas de l’arnaque monétaire mondial et de cette monstrueuse injustice sociale,
De préférence, augmentez-les vos services avec (FEA) : Un don en travail ou en argent vous aident et aide les autres.
Le but ultime est d’inviter les détaillants à économiser avec leurs clients. Avec cette nouvelle mise en marché qui réalise un cercle économique toujours en croissance du a la consommation clients unis avec leur marchand, ce programme est sans coût pour les marchands, au contraire il augmente leurs économies à tous les jours. (Ne pas oublier que des économies collectives comme proposés ne sont pas des dépenses).
Cette mises en marchés proposés par www.j-m-c.ca et aider par Fond Enfant Ainée (FEA) qui amasse des fonds avec une roue de fortune pour vos organismes locaux et l’argent est dépensable chez les marchands locaux. Participez et Installez-vous dans les marchés aux puces ou grand magasin. Vous réaliserez un revenu de prestige. Jumelage Marchand Client ((JMC) (www.j-m-c.ca) et Fond Enfant Ainée son fier de vous présenter ce nouveau concept d’économies collectives a partir de la consommation avec croissance indéfinie dans un monde fini.
L’on amasse des fonds d’économies que nous distribuons aux membres d’organisme, qui eux les dépenseront chez les marchands locaux qui économisent avec leurs clients.
C’est ce qui actionne le cercle économique essentiel à de la croissance perpétuelle et ce, à partir de la consommation. Pourquoi accepter les coupures de complicités des libéristes, Fond Enfant Ainée crée de la richesse collective ? Ces économies augmenteront vos services et votre portefeuille. Ex : En réussissant à faire économiser 1.00$ par jour par citoyen, dans une MRC de 35,000 de population; Nous retournerons un million cinquante milles dans l’économie locale par mois et ce sera toujours en croissance.
Gilles Gagnon/ Laissez-nous un message et réserver vos pubs JMC Gratuites
Fond enfant Ainée NEQ : 224-528-8685
Jumelage Marchand Client Ltée fidélise la clientèle des marchands et quadruple leurs publicités en permettant aux citoyens d’économiser avec eux.
JMC est un Facilitateur d’économies coopératives et collectives à partir de la consommation.
635A Centrale J9P 1P9, Val D’or, Québec, Canada www.j-m-c.ca
gilles.gagnon24@tlb.sympatico.ca Cell: 819-825-9401, 1-888-414-6093, FL 1-305-914-5579
Écouté ces vidéos et agissez avant que vos proches se fasse tuer
http://www.dailymotion.com/video/xdkmzy_paul-grignon-l-argent-dette-2x3-fr_news
http://www.disclose.tv/action/viewvideo/58363/David_Icke___Qu_est_ce_que_l_argent__fran_ais_/
http://www.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DYl_ieGBLnWY&h=lAQBITtw3AQDd20q_OfSnGnHo9tyFcceiqql4_50EAwxuyA
FOND ENFANT AÎNÉE EST AUTONOME ET NE SE SERT JAMAIS DE VOS DONS POUR SES FRAIS D’ADMINISTRATION. www.j-m-c.ca Vous pouvez-vous servir de FEA pour vous publiciser. Ce n’est pas plus dispendieux… Ce qui créera de la richesse collective.
Le but ultime est d’inviter les entrepreneurs à économiser avec leurs clients.
Les dons que nous amassons sont convertis en bons d’économies collectives www.j-m-c.ca Les bons sont remis aux organismes locaux qui les distribuent à leur gré. Accumulés à 210$, le possédant reçoit une carte de crédit prépayée. L'argent pourra être dépensé chez les marchands locaux qui leur redonneront quelques bons encore utilisables chez-eux. Vous avez le départ et la fin d’un cycle économique de pauvreté zéro. Devenons une super puissance économique.
PARTENARIAT AVEC D’AUTRES ORGANISMES POUR AMASSER DES FONDS
Nous prêtons notre roue de fortune gratuitement aux organismes qui amassent des fonds afin de diminuer la pauvreté. Il nous fera plaisir de collaborer avec vous gratuitement. C’est facile d’amasser de 200$ à 500$ par jours à redistribuer. Appelez pour un rendez-vous. Je vous ais ajoutés un peu d'infos économiques.
IL EST FONDAMENTAL D’AUGMENTER LE PORTEFEUILLE DE VOS CLIENTS
Seriez-vous assez aimable de faire suivre ce courriel aux personnes responsables des dons.
20 ANS DE RECHERCHE ONT COURONNER LE PROGRAMME DE JUMELAGE MARCHAND CLIENT LTÉE
Fond enfant Ainée vous remercie à l’avance… Résister à la pauvreté, c’est devenu vital
Vos dons vous publicisent en direct, parmi vos citoyens et de porte à porte, une pierre deux coups. No enregistrement Fond Enfant Ainée : NEQ : 224-528-8685
1) SVP, pourriez-vous nous ajouter à votre liste des organismes à qui vous offrez des dons.
2) A partir de la consommation, cette nouvelle formule d’économie collective offre des bons d’économies style les piastres ou les points-bonis offert par certain commerçants.
3) L’Argent ainsi amassé est réparti entre les membres de plusieurs organismes.
4) Faites un don pour aider directement les bénéficiaires d’organismes à buts non lucratifs et vous serez publicisé gratuitement avec votre nom, logo, adresse sur chacun des bons distribués par les dirigeants d’organismes a leurs bénéficiaires. Ex : Vos dons sont divisés par 50¢ et ont une valeur client de 10.50$
RÉALISEZ, AGISSEZ ET RÉAGISSEZ, CONNECTEZ-VOUS www.j-m-c.ca
5) Contrairement aux autres organismes, Fond Enfant Aînée est autonome et distribue vos dons toujours à 100%, aux bénéficières d’organismes. Les inscriptions sont gratuites et ont une valeur de $210.00.
6) Afin de vous publiciser auprès de votre collectivité, vous pouvez commanditer notre roue de fortune que nous installons dans des centres d’achats ou les grands magasins. Votre nom et logo, adresse sera inscrit gratuitement sur tous les bons distribués à moins que vous nous indiquiez le contraire.
7) Vous pouvez nous indiquer certains organismes que vous aimeriez que nous aidions.
8) Nous acceptons aussi des dons en biens : EX : Nestlé comme commanditaire nous a déjà offert pour nos conférences une caisse de sac de café par mois durant un an.
L’Algorithmes de Jumelage Marchand Client Ltée
Un cercle économique réalisé à la perfection à maturité de 210$, une formule 2 de 2 nombres pour 15$, 4 nombres de 210$ pour 30$® et 8 nombres de 210$ pour 60$® afin de réaliser le cercle de croissance parfaitement il faut 2 repositionnements prépayés synchronique, premier à 30$® et le deuxième à 60$®. Comme l’algorithme fonctionne 50/50 : Des avances de fond de 210$ sont envoyées aux nouveaux inscrits et l’argent est dépensable chez les marchands participants.
Merci a l’avance de votre générosité fond-enfandainee@tlb.sympatico.ca
Vos dons vous sont tournés en publicité et retournent à 100% dans votre économie locale: Un programme d’entraide sociale. Épargniez, Économisez, bâtissez-vous un portefeuille!
Cette nouvelle invention permet à vos citoyens et à vos marchands, d’économiser ensemble, collectivement.
Jumelage Marchand Client Ltée NOUS UNIS COLLECTIVEMENT. AIMEZ VOTRE PROCHAIN
Vous, vous êtes surement rendu compte que le système monétaire ne fonctionne pas correctement, Les lobbys nous endette jusqu’au coup se rendant complice de certain décideurs qui diminue tous nos services. (Dettes, déficits, dépenses). Avec leur faux PIB calculé sur la fabrication au lieu de la consommation, leur système saute tous les 4-7 ans. N’attendez pas que leur gestion explose. 96% de la population selon Statistique Canada ne peuvent économiser pour eux et leur famille. Avez-vous écouté Krach à RDI qui nous renseigne sur leur arnaque ?
Informez-vous et apprenez pourquoi la dette des pays ne peut jamais se payer sans cercle économique. Apprenez pourquoi il faut s’unir ? La lucidité nous permet d’être solidaires. Il faut absolument corriger ces contradictions et JMC les corriges à 100%. En tant que gestionnaire comment voulez-vous payer vos dettes, vos service au peuple et celle de votre gouvernements avec des citoyens pas sous.
Comme proposé par certain génies se disant lucides ; Empêcher les citoyens de dépenser, et augmenter le coût des services et les prix à la consommation, cela ralentis le développement dans tous les sphères de l’économie, détruisant les possibilités d’épargnes et les emploies, tout en augmentant les dettes des citoyens et des gouvernements ?
Une solution incontournable, c’est de permettre à tous les citoyens et aux marchands d'économiser collectivement a partir de leur consommation, Cette solution crée, du nouvel argent économisés sans inflation, et cet argent est toujours en croissance et augmentent les portefeuilles des marchands conjointement avec leurs clients. Demandez les infos ?
Ne vous laissez pas induire en erreur par des esprits crochus qui crachent dans la figure des pauvres et des travailleurs autonomes en disant que notre programme ressemble à une pyramide. Un fonctionnement pyramidal est individualiste, égocentrique, nombriliste, capitaliste à l’extrême et n’a rien à voir avec notre mouvement collectif et coopératif. Apprenez comment le système monétaire fonctionne et pourquoi ils s’empêchent de créer du nouvel argent avec des complices.
Svp. prenez un peu de votre temps et encourager le démarrage de ces économies Collectives a partir de la consommation (Vrais PIB) en vous inscrivant au site www.j-m-c.ca et faite un don a fond-enfantainee@tlb.sympatico.ca Vous doublerez vos Revenus et vos Économies tout en consommant.
Membre du Club-Asteria : http://club-asteria.com/member/register?refid=183912
Modèle de vos bons de fidélisation de la clientèle avec votre nom, logo, adresse, distribué gratuitement à leurs membres. Marchand : Vous pouvez-vous annoncer gratuitement à partir du site www.j-m-c.ca et avec un compte PayPal vous pouvez vendre vos produits en étant payé a votre compte commerce immédiatement.
FOND ENFANT AÎNÉE
NEQ : 224-528-8685 Nom du responsable et Téléphone :
Prénom & Nom : ________________________
Adresse No & Rue : ______________________
Ville & Province : ________________________
Code Postale : ___________________________
Courriel obligatoire:
_______________________________________
Valeur de votre bon : $210.00 encerclé $10.50 Prénom & Nom : ________________________
Adresse No & Rue : ______________________
Ville & Province : ________________________
Code Postale : ___________________________
Courriel obligatoire:
_______________________________________
Valeur de votre bon : $210.00 encerclé $10.50
Prénom & Nom : ________________________
Adresse No & Rue : ______________________
Ville & Province : ________________________
Code Postale : ___________________________
Courriel obligatoire:
_______________________________________
Valeur de votre bon : $210.00 encerclé $10.50 Prénom & Nom : ________________________
Adresse No & Rue : ______________________
Ville & Province : ________________________
Code Postale : ___________________________
Courriel obligatoire:
_______________________________________
Valeur de votre bon : $210.00 encerclé $10.50
Prénom & Nom : ________________________
Adresse No & Rue : ______________________
Ville & Province : ________________________
Code Postale : ___________________________
Courriel obligatoire:
_______________________________________
Valeur de votre bon : $210.00 encerclé $10.50 Prénom & Nom : ________________________
Adresse No & Rue : ______________________
Ville & Province : ________________________
Code Postale : ___________________________
Courriel obligatoire:
_______________________________________
Valeur de votre bon : $210.00 encerclé $10.50
Prénom & Nom : ________________________
Adresse No & Rue : ______________________
Ville & Province : ________________________
Code Postale : ___________________________
Courriel obligatoire:
_______________________________________
Valeur de votre bon : $210.00 encerclé $10.50 Prénom & Nom : ________________________
Adresse No & Rue : ______________________
Ville & Province : ________________________
Code Postale : ___________________________
Courriel obligatoire:
_______________________________________
Valeur de votre bon : $210.00 encerclé $10.50
Prénom & Nom : ________________________
Adresse No & Rue : ______________________
Ville & Province : ________________________
Code Postale : ___________________________
Courriel obligatoire:
_______________________________________
Valeur de votre bon : $210.00 encerclé $10.50 Prénom & Nom : ________________________
Adresse No & Rue : ______________________
Ville & Province : ________________________
Code Postale : ___________________________
Courriel obligatoire:
_______________________________________
Valeur de votre bon : $210.00 encerclé $10.50
Prénom & Nom : ________________________
Adresse No & Rue : ______________________
Ville & Province : ________________________
Code Postale : ___________________________
Courriel obligatoire:
_______________________________________
Valeur de votre bon : $210.00 encerclé $10.50 Prénom & Nom : ________________________
Adresse No & Rue : ______________________
Ville & Province : ________________________
Code Postale : ___________________________
Courriel obligatoire:
_______________________________________
Valeur de votre bon : $210.00 encerclé $10.50
Noms des gagnants avec courriel obligatoire
FOND ENFANT AINÉE
NEQ : 224-528-8685 Nom & téléphone du responsable opérateur de la roue:
1) Ouvrez vous un compte et inscrivez-vous gratuitement au site www.j-m-c.ca et enregistrez vos bons dans votre compte.
2) Votre inscription sera gratuite et aura une valeur nominale de 210$, qui se convertira en argent réel afin d’augmenter vos économies.
3) Cet argent sera ajouté à votre carte de crédit prépayée dans votre compte JMC.
4) Cet argent sera dépensable chez les marchands participants aussitôt qualifié.
5) Dite à votre marchand préféré de s’inscrire comme vous avez fait; il pourra acheter des bons à vous offrir afin de vous aider à l’encourager.
6) Dites-lui que vous avez l’argent comptant dans votre compte JMC pour le payer.
7) Négociez vos achats comme eux le font avec leurs fournisseurs. Demandez quelques bons d’économies avant de l’encouragé, c’est donnant, donnant, ne l’oubliez pas.
Vous pourrez acheter plus et vos marchands feront plus de profits. Bons achats
POURQUOI TRAVAILLER JUSTE POUR SURVIVRE ?
COMMENT SE CRÉE LE NOUVEL ARGENT JMC?
Quand vous comprendrez comment le nouvel argent sans inflation créé et non imprimé est créé, vous comprendrez l’importance de créé de nouveaux argents à imprimer par des économies collectives à partir du P.I.B. réel qui est la consommation non la fabrication et de le faire collectivement pour ne pas pénaliser les marchands. Le marchand et le client sont tous deux aux mêmes niveaux d’économie collective. Le grandiose du système de Jumelage Marchand Client permet aux marchands d’économiser avec leurs clients en les fidélisant.
PREMIÈREMENT :
Les produits intérieurs bruts (PIB) doivent être basés selon la consommation destructible qui se renouvelle constamment, non pas à partir de la fabrication où il y à 70 milliards par année de produits fabriqués en trop dans le monde. Imprimer de l’argent à partir du PIB réel augmentera la richesse collective.
FONCTIONNEMENT, nouveaux profits égale nouvel argent à imprimer :
La nourriture se digère, les biens s’usent et se remplaces les services se renouvellent perpétuellement. Donc, vous comprendrez qu’à toutes les fois que vous achetez, de nouveaux profits se créent par vos achats et, par le fait même, crée le nouvel argent à imprimer, c'est exactement là que nous devons permettre des économies collectives. C’est assez clair car cet argent que vous venez de créer n’existait pas avant. Pas de nouveaux achats, pas de nouveaux profits, pas de nouvel argent à imprimer sans inflation.
Vous manger, vous digérez, vous racheter ainsi de suite et, à toutes les fois, vous créez du nouvel argent à imprimer sans inflation. C’est à partir de ces profits que nous devons économiser pour réaliser un système juste pour les marchands, les clients, les gouvernements et toutes les grandes entreprises :
IL FAUT QUE LES ÉCONOMIES SOIENT POSSIBLES POUR TOUS :
Qui de mieux placés que les marchands, qui ne peuvent être autres pour démarrer des économies collectives? Imaginez si tous les marchands décidaient d’économiser pour eux en se servant de leurs clients, les fidélisant automatiquement par le fait même comme la formule introduite et proposée par Jumelage Marchand Client. Des économies réalisées directement à partir de ces nouveaux achats…
LES RÉSULTATS : www.j-m-c.ca Gil : 819-825-9401
L’impact serait tellement grandiose que le chiffre d’affaire des marchands participants serait toujours en augmentation, dû au fait qu’ils auront permis à tous leurs clients d’économiser avec eux, qu’ils le veulent ou pas, pauvres ou riches.
Les argents ainsi économisés sont toujours retournés à 100% moins les frais d’administration. Les frais d’administration sont pris après gestion des retours économisés, et déduits des retours économisés.
La pauvreté ainsi éliminée, veut ou veut pas, éliminera le terrorisme et le lobbysme négatif.
Suggestion de mise en marché
Autonome a 84$ du contrat, 100 vendu par mois à 290$, vous donne 8400$ Mois
Voici comment cela fonctionne : Média Marchand Client imprime 40 milles circulaires format carte d’affaire distribués porte à porte, 10 milles par semaine, pour $290.00 Tx-Inc. Afin de faire entrer des clients dans votre commerce, Média Marchand Client, vous imprime gratuitement 80 bons d’économies à troquer contre un de vos circulaires distribués porte à porte. Chacun de ces bons d’économies a une valeur nominale client de $10.50. Ils enregistrent leurs bons d’économies dans leur compte caisse d’économie internet www.j-m-c.ca et cet argent ainsi économisé vous revient à 100%. Ces bons seront convertis en argent réel et dépensé chez-vous à partir d’une carte de crédit prépayée. Si vous manquez de bons d’économies ces que ça va bien pour vous. Appelez-moi et je vous en imprimerai d’autres, Votre coût sera de seulement 50¢ du bon, tourné en économie pour votre commerce et vous pourrez l’enregistrer dans votre compte (Valeur nominale $10.50)
L’avantage, c’est que votre coût est tourné en économies et vous revient éventuellement.
Média Marchand Client et Jumelage Marchand Client débutent un programme de Jumelage Marchand-Client style coopérative afin de reprendre le contrôle de notre économie locale et régionale et d’augmenter les emplois et les économies des citoyens à partir de leurs consommations. Il sera possible de doubler le chiffre d’affaire des marchands. JMC gère des bons d’économies que vous accumulez et enregistrez sur le site www.j-m-c.ca Ces bons vous publicisent gratuitement et sont comparables aux dollars Canadian Tire, Air-Miles, HBC, Pétro-Points etc. Votre participation crée de la nouvelle richesse collective, non inflationniste.
"Abondance, Prospérité et Succès ! Liberté, Égalité, Fraternité ?"